L’éducation dans l’agenda global pour l’après-2015
De la rédaction
14/07/2014 à 11:36, Lundi | Mis à jour le 22/09 à 16:07
La Légion de Bonne Volonté a réalisé au mois de novembre 2013, le 10e Forum Intersectoriel Réseau Société Solidaire − 7e Foire de l’Innovation. Le thème de cette édition était « Les chemins de l’avenir pour l’Éducation − L’enseignement dans le programme d’action global de développement pour l’après-2015 ».
Valentina Clavero Beatriz Vázquez, directrice pédagogique de l’Institut Éducatif et Culturel José de Paiva Netto, de la LBV de l’Uruguay ; maciel Ferreira, représentant de la LBV dans le pays ; María Teresa Mira (au microphone), présidente de l’ANONG ; et andrés scagliola, du Ministère du Développement Social.
Valentina ClaveroPendant l’événement, ariel Gold, pédopsychiatre et coordinateur du Programme de Psychoéducation des enseignants et des parents comme Agents de la Santé Mentale, a parlé de « Consommation excessive des enfants, quelques contributions de la psychiatrie ».
Le contenu des débats sera présenté par la LBV au Débat de haut niveau du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC/ONU) en juillet 2014, au siège de l’organisation à New York/États-Unis. La série de rencontres du forum a mobilisé les institutions et les acteurs sociaux dans quatre pays d’Amérique du Sud — Argentine, Bolivie, Paraguay et Uruguay, où la LBV maintient des bases autonomes — et a reçu le soutien du Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies.
Les recommandations et les bonnes pratiques sociales et éducatives présentées au Forum Intersectoriel et à la Foire de l’Innovation ont été discutées par les gestionnaires et les professionnels des organisations de la société civile, des entreprises et des organismes publics, ainsi que les enseignants et les étudiants intéressés par la participation aux discussions, la diffusion des connaissances et le développement de partenariats.
Uruguay et Argentine : consommationisme et durabilité
Le thème « L’éducation aux temps du consommationisme » a concentré les débats du Réseau Société Solidaire à Montevideo, en Uruguay, dans le Salon doré du Palacio Municipal. La cérémonie d’ouverture s’est tenue le 20 novembre, avec la participation de la présidente de l’Association Nationale des Organisations Non-gouvernementales Orientées vers le Développement (ANONG),María Teresa Mira, qui a souligné l’importance de l’événement. « C’est une très bonne initiative de la Légion de la Bonne Volonté, car elle remet sur la table les défis de l’éducation, avec lesquels nous sommes en dette. Le consommationisme est un thème de l’éducation citoyenne qui n’est pas encore assez travaillé. Il est bon qu’une institution comme la LBV aborde cette question », a-t-elle déclaré.
Le lendemain, c’était au tour de la capitale argentine de recevoir le 10e Forum Intersectoriel Réseau Société Solidaire − 7e Foire de l’Innovation, dans l’auditorium de l’Ambassade du Brésil à Buenos Aires. Un riche débat s’est ouvert sur le thème du « Programme d’action global de développement : nouvelles directions pour l’éducation et la durabilité », à travers des conférences et des workshops, et la présence d’experts en technologies sociales des principaux secteurs concernés : gouvernement, université et société civile.
« En tant que représentant de l’ONU, je suis très heureux quand je vois un événement comme celui-ci qui apporte au pays, à la population de la campagne, de la ville, la Bonne Volonté d’essayer de faire quelque chose dans leurs quartiers, sur leurs lieux de vie. Cela est très important ».
À cette occasion, l’alors chef du secteur des Droits de l’homme et des affaires sociales de l’Ambassade du Brésil en Argentine, Marcela Pompeu Sogocio, a remercié la LBV pour son initiative d’organiser le forum et promouvoir le débat sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et le nouveau programme d’action mondial. « Nous devons coopérer pour que la réalité en 2015 soit différente de ce que nous avons vu en 2000, lorsque le Sommet du Millénaire a lancé un défi si important. La participation de la société civile et les initiatives qui surgissent à partir des nécessités quotidiennes sont peut-être ce qu’il y a de plus important, car c’est ce qui fait le vrai changement », a observé la diplomate.
Le Paraguay et la Bolivie concluent le forum
Le 26 novembre, la capitale du Paraguay, Asunción, a également accueilli cette édition de la rencontre. La Salle bicamérale du Congrès National était pleine lors des débats autour du thème « Former des alliances pour les changements positifs dans la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement ».
Le public présent accompagne le cycle de conférences au cours du 10e Forum Intersectoriel Réseau Société Solidaire dans la Salle Bicamérale du Congrès National.
Le directeur général de la Coopération et de l’Éducation Permanente de l’Organisation des États Ibéro-Américains pour l’Éducation, la Science et la Culture (OEI), Luis María Scasso, a évalué le forum : « L’éducation nous engage tous, nous devons tous aider. Et c’est ce que fait la LBV qui ne se contente pas de s’asseoir et regarder par la fenêtre... L’Institution s’implique dans l’Éducation, elle partage ses expériences avec tout le monde. Je suis très heureux de cette invitation ».
Trois jours plus tard, le 29 novembre, la Légion de la Bonne Volonté de la Bolivie a conclut le cycle des rencontres de ce 10e Forum Intersectoriel et 7e Foire de l’Innovation. L’événement a eu lieu à l’Universidad Técnologica Privada de Santa Cruz de La Sierra (UTEPSA). Les débats ont mis en valeur une série de propositions efficaces pour lutter contre les inégalités sociales, outre la discussion sur les différences et le dialogue interculturel dans le contexte des Objectifs du Millénaire pour le développement dans le pays.
Andrea Varela « La situation de l’éducation en Amérique latine dans le cadre de la réalisation des Objectifs du Millénaire dans la perspective des Droits de l’homme ».
À ce sujet, Matías Penhos, spécialiste des droits de l’Homme en Amérique latine, a souligné que la question se répètera et restera un thème d’actualité dans l’agenda des pays de la région au cours des prochaines années.
Il a également remercié la LBV pour son initiative de promouvoir le forum. « Je félicite [l’Institution] pour son activité. Pour moi, elle contribue à atteindre les objectifs. La Culture de la Paix, le respect des droits de l’homme, dont nous avons tant parlé aujourd’hui, sont très importants. S’il y avait plus de gens comme vous, les choses seraient très différentes », a-t-il déclaré.
Développement durable : rencontre discute l’agenda global post-2015
De la rédaction
30/06/2014 à 15:21, Lundi | Mis à jour le 22/09 à 16:07
Entre le 30 juin et le 11 juillet, le Conseil économique et social (ECOSOC), de l’Organisation des Nations Unies (ONU) a organisé son Débat de haut niveau (High-Level Segment) annuel. La Légion de la Bonne Volonté (LBV), qui possède un statut consultatif général auprès de l’ECOSOC, participe des rencontres, qui ont lieu au siège de l’ONU à New York, aux États-Unis.
Pendant cette période seront présentés simultanément le Forum politique de haut niveau pour le développement durable, l’Examen ministériel annuel et le Forum pour la coopération en matière de développement. Les débats se feront sur le thème : « Les moyens de répondre aux défis persistants et émergeants pour réaliser les Objectifs du Millénaire pour le développement d’ici à 2015 et faire des avancées en matière de développement durable à l’avenir ».
La LBV participe des rencontres mondiales de l'ECOSOC/ONU
NEW YORK, ÉTATS-UNIS — M. Klaus Rüdischhauser, directeur général adjoint de la direction générale de la Commission européenne pour le développement et la coopération — EuropeAid, reçoit le magazine Bonne Volonté Développement durable en anglais de Mariana Malaman, représentante de la LBV dans l’évènement.(Foto: Verônica Anta)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le jeune Nicholas Beck de Paiva (à dr.), de la LBV, dialogue avec le directeur général de l’Organisation Européenne pour la Recherche Nucléaire (CERN), Rolf-Dieter Heuer, qui feuillette le magazine Bonne Volonté Développement durable.(Foto: Mariana Tamasan)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV à l’évènement, Conceição Albuquerque, remet la publication spéciale de l’Institution à l’ancien premier ministre de la Corée du Sud, Han Seung-soo, envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies sur la réduction des risques de catastrophe et la ressource en eau.(Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — L’économiste et directeur de l'institut de la Terre à l'université Columbia (New York), Jeffrey D. Sachs (à dr.) a reçu le magazine Bonne Volonté Développement durable pendant la conférence. Il est également conseiller spécial du secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, sur les objectifs du Millénaire pour le développement.(Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le 9 juin, la Radio des Nations Unies en portugais a publié une interview sur la participation de la Légion de la Bonne Volonté au Débat de haut niveau de l’ECOSOC. La mise en évidence a été la composition d’une équipe très jeune de l’Institution à l’évènement. Des 13 intégrants, 10 ont moins de 28 ans, et sont originaires de 6 pays différents. Parmi eux, se trouvent les brésiliens, Nicholas Beck de Paiva et Felipe Duarte, qui ont parlé de l’opportunité reçue par la LBV d’exprimer et défendre leurs pensées. (Foto: Adriana Rocha)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — L’interview a été accordée à Laura Gelbert, de la Radio des Nations Unies à New York, qui a reçu sympathiquement le représentant de la Légion de la Bonne Volonté auprès de l’ONU, Danilo Parmegiani (en arrière-plan), et deux des jeunes intégrants de l’équipe à l’évènement, Nicholas Beck de Paiva (à g.) et Felipe Duarte.(Foto: Adriana Rocha)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le représentant de la LBV dans l’évènement evento Nicholas Beck de Paiva dialogue avec Sarah Lawan (à dr.), représentante du Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique (NEPAD). (Foto: Stephanie Sabeerin)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV à l’évènement Amanda Vieira remet la publication speciale de l’Institution, en anglais, à l’ambassadeur Pio Wennubst, de l’Agence suisse pour la coopération au développement (DDC).(Foto: Felipe Duarte)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV à l’évènement, Conceição Albuquerque, remet la publication spéciale de l’Institution, en anglais, à M. Borge Brende, ministre norvégien des Affaires étrangères.(Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Les intégrants de l’équipe de la Légion de la Bonne Volonté fraternisent avec la brésilienne Mônica Villela Grayley (au centre, en robe), de la Radio des Nations Unies à New York. Entre ses mains, le magazine Bonne Volonté Développement durable, qui présente les recommandations de la LBV pour l’édition 2014 du Débat de haut niveau du Conseil économique et social de l’ONU.NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le jeune Felipe Duarte dialogue avec Mme. Emilia Pires, Ministre des Finances du Timor-Leste, et présente les recommandations de la LBV spécialement envoyées à l’évènement.(Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV à l’évènement, Mariana Tamasan (à g.), remet la publication spéciale de l’Institution, en espagnol, au Ministre du Développement et de l’Inclusion sociale du Pérou, Paola Bustamante Suárez. (Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le président d’Oxfam Ireland, Jim Clarken, a également reçu le message de la Légion de la Bonne Volonté pendant l’évènement de l’ECOSOC. À son côté, Conceição Albuquerque avec la publication spéciale de l’Institution, en anglais. (Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — M. Saber Chowdhury, membre du Parlement de Bangladesh, a également reçu les recommandations de la Légion de la Bonne Volonté pendant la conférence.(Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mariana et Alex Tamasan présentent le message de la Légion de la Bonne Volonté au ministre de finances du Guyana, Dr. Ashni K. Singh (au centre).(Foto: Verônica Anta)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV à l’évènement, Conceição Albuquerque (à g.), remet la publication spéciale de l’Institution au conseiller de la mission permanente du Honduras auprès des Nations Unies, Mme. Suyapa Carias.(Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La secrétaire du Département des affaires de l’Assemblée générale et de la gestion des conférences de l’ECOSOC, Mme. Jennifer DeLaurentis (à dr.), reçoit des mains d’Eliana Gonçalves les recommandations de la LBV pendant l’évènement des Nations Unies.(Foto: Amanda Vieira)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le ministre de la Planification du développement de la Bolivie, Viviana Caro Hinojosa (à dr.), a également reçu la publication spéciale de la LBV (en espagnol) pendant l’évènement de l’ECOSOC. À son côté, Adriana Rocha.(Foto: Danilo Parmegiani)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Felipe Duarte et Mariana Tamasan, de la LBV, remettent les recommandations de l’Institution à la troisième secrétaire de la Mission permanente de Pologne auprès des Nations Unies, Aleksandra Stępowska (à g.).(Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mme. Candida Novak, de la Mission permanente de la République de Tchèque auprès des Nations Unies, a également reçu le message de la Légion de la Bonne Volonté, spécialement envoyé à l’évènement.(Foto: Mariana Tamasan)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — M. Peter Hulényi (à dr.), directeur du Département d’assistance pour le développement et l’aide humanitaire du Ministère des Ministère des affaires étrangères et européennes de la Slovaquie, a également reçu le message de la LBV pendant l’évènement. (Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV à l’évènement, Adriana Rocha, fraternise avec le conseiller de la Mission permanente du Canada auprès des Nations Unies, Giles Norman, et lui remet les recommandations de l’Institution, en anglais.(Foto: Mariana Tamasan)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — L’analyste de recherche du Ministère des Affaires étrangères du Libéria, Amjad M. Nyei, reçoit des mains de Mariana Tamasan, de la LBV, le magazine Bonne Volonté Développement durable, en anglais.(Foto: Felipe Duarte)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Représentante de la délégation japonaise à l’évènement reçoit la publication spéciale de la Légion de la Bonne Volonté des mains du jeune Felipe Duarte, de l’Institution.NEW YORK, ÉTATS-UNIS — María Jose del Aguila, de la Mission permanente du Guatemala auprès des Nations Unies, reçoit la publication spéciale de la Légion de la Bonne Volonté des mains du représentant de l’Institution auprès de l’ONU, Danilo Parmegiani.(Foto: Adriana Rocha)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Participant lit la publication spéciale de la Légion de la Bonne Volonté, qui est amplement divulguée dans le Débat de haut niveau des Nations Unies.(Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — De gauche à droite : Javad Momeni, de la Mission permanente de la République islamique d’Iran auprès des Nations Unies ; Muhammaed Hassan, de la Mission permanente d’Iraq ; Taghi Ferami, également de la Mission permanente d’Iran ; Danilo Parmegiani, représentant de la LBV auprès de l’ONU, avec le magazine Bonne Volonté Développement durable, en anglais. NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le 7 juillet, la Légion de la Bonne Volonté a été invitée à se prononcer dans le plénier des Nations Unies, devant les autorités internationales présentes. Sur la photo, le représentant de l’Institution auprès des Nations Unies, Danilo Parmegiani, parle du travail de la LBV lors de l’intervention transmise par la Radio et télévision ONU, en direct, au monde. (Foto: Reprodução)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Ce lundi 7, a débuté l’édition 2014 du Débat de haut niveau du Conseil économique et social des Nations Unies (High-Level Segment), au siège de l’ONU à New York.(Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) et le sous-secrétaire général de l’ONU, M. Achim Steiner (à g.), reçoit des mains du jeune Nicholas Beck de Paiva, représentant de la LBV à l’évènement, le magazine Bonne Volonté Développement durable en anglais.(Foto: Eliana Gonçalves)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Eliana Gonçalves, de la LBV, remet la publication spéciale de l’Institution, en anglais, à M. Martin Chungong, secrétaire général de l’Union Interparlementaire. (Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — M. Mahmoud Mohieldin (à g.), Secrétaire général et envoyé spécial du président de la Banque Mondiale, a également reçu le magazine Bonne Volonté Développement durable au cours de l’évènement.(Foto: Eliana Gonçalves)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV à l’évènement, Mariana Tamasan, présente les recommandations de l’Institution au Dr. Yoon Seongkyu, ministre sud-coréen de l'Environnement.(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Felipe Duarte, de la LBV, remet la publication spéciale de l’Institution au ministre plénipotentiaire du Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération du Maroc, Zakia El Midaowi. (Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La jeune Amanda Vieira (à g.) de la LBV fraternise avec Mme. Nana Oye Lithur, ministre du Genre, de l'Enfant et de la Protection sociale, de la République du Ghana, et présente le message de l’Institution spécialement envoyé pour l’évènement.(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, EUA — De gauche à droite : Mariana Tamasan, de la LBV ; et du Ministère de l'Environnement, de la Protection du Territoire et de la Mer de la République italienne, la sous-secrétaire Silvia Velo et Paolo Soprano, Directeur de la division du développement durable. Entre leurs mains, la publication spéciale de la Légion de la Bonne Volonté, en anglais.(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mariana Tamasan (à g.), de la LBV, présente les recommandations de l’Institution au ministre conseiller du Ministère des affaires étrangères de Cuba, Ana Silvia Rodriguez. (Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV à l’évènement, Eliana Gonçalves (à g.), dialogue avec Mme. Esther Agbarakwe, co-fondatrice de Nigeria Youth Climate Coalition (NYCC), et présente le message de l’Institution spécialement envoyé à l’évènement de l’Ecosoc.(Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mme. Valeria Yolcerova, de la mission permanente de la République slovaque auprès des Nations Unies, et le jeune Felipe Duarte, de la LBV.(Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Pendant la conférence, Mme. Neva Ünal (à dr.), troisième secrétaire de la Mission permanente de la Turquie auprès des Nations Unies, reçoit le magazine Bonne Volonté Développement durable en anglais, des mains des représentants de l’Institution à l’évènement Felipe Duarte et Mariana Tamasan.(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le président du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) et représentant permanent de l'Autriche auprès des Nations Unies à New York, l’ambassadeur Martin Sajdik (à dr.), reçoit les recommandations de la LBV figurant dans le magazine Bonne Volonté Développement Durable. À son côté, le représentant de l’Institution auprès de l’ONU, Danilo Parmegiani, avec la publication en langue française.(Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mme. Alicia Bárcena (à g.), secrétaire exécutive de la Commission économique pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), a également reçu le message de la LBV, au cours de l’évènement. À son côté, Adriana Rocha, de la LBV, avec le magazine Bonne Volonté Développement durable, en espagnol.(Foto: Eliana Gonçalves)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le représentant de la LBV à l’évènement, Nicholas Beck de Paiva, remet la publication spéciale de l’Institution à Mme. Shahira Wahbi, directrice du département du développement durable et de la coopération internationale de la Ligue des États arabes.(Foto: Mariana Tamasan)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV à l’évènement, Adriana Rocha (à dr.), remet les recommandations de l’Institution en anglais à Mme Amina Mohammed, conseillère spéciale de l'ONU sur la planification pour l'après-2015. (Foto: Eliana Gonçalves)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Amanda Vieira (à dr.), de la LBV, présente le message de l’Institution spécialement envoyé pour l’évènement à Mme. Secrétaire exécutive de la Commission économique et sociale pour l'Asie occidentale (CESAO). (Foto: Eliana Gonçalves)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — En ce jeudi 3 juillet, un ami de longue date de l’Institution, Neil Blonstein (au centre, en vert), représentant de l’Association Universelle d’Espéranto (UEA) auprès des Nations Unies, a fraternisé avec des intégrants de l’équipe de la Légion de la Bonne Volonté ; parmi eux, le jeune Felipe Duarte, secrétaire exécutif du Département d’Espéranto de l’Institution, qui tient en mains le magazine de la LBV Globalisation de l’Amour Fraternel, dans la langue universelle. En cette occasion, M. Neil Blonstein a donné aux jeunes une brève explication sur l’action de l’UEA au sein de l’organisme international, et s’est rappelé de sa visite au bureau de représentation de la Légion de la Bonne Volonté, à New York, en mars 2012, avec le Dr Humphrey Tonkin, professeur d’Humanités, président émérite de l’Université de Hartford, au Connecticut (États-Unis), et ancien président de l’UEA.(Foto: Yrene Santana)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le jeune Nicholas Beck de Paiva (à dr.), de la LBV, dialogue avec M. Osman Mahomed, président exécutif de la Commission Maurice-Île-Durable (MID), de la République de Mauricie, et lui remet la publication spéciale de l’Institution.(Foto: Mariana Tamasan)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mariana Tamasan, de la LBV, remet le magazine Bonne Volonté Développement durable, en français, à M. Yro Hyacinthe Tie, directeur des Politiques et Stratégies du Ministère de l’Environnement, de la Salubrité Urbaine et Développement Durable de Côte d’Ivoire. (Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Les représentants de la LBV à l’évènement, Mariana Tamasan et Felipe Duarte, présentent les recommandations de l’Institution à M. Marcos da Silva Sapateiro (à dr.), de la délégation du Mozambique.(Foto: Nicholas Beck de Paiva)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV à l’évènement, Conceição Albuquerque (à g.) remet la publication spéciale de la LBV, en français, à Mme. Fatimetou Mint Abdel Malick, maire de Tevragh-Zeina, Mauritanie, et présidente du Réseau des Femmes Élues Locales d’Afrique (REFELA).(Foto: Stephanie Sabeerin)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le jeune Felipe Duarte (à dr.), de la LBV, dialogue avec M. David Nabarro, représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies pour la sécurité alimentaire et la nutrition, et lui remet le magazine Bonne Volonté Développement durable en anglais.(Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Vue partielle du public qui a suivi, en ce mercredi 2 juillet, la conférence sur la médiation du M. David Nabarro, représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies pour la sécurité alimentaire et la nutrition.(Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Dr Maria Ivanova (à g.), titulaire d'habilitation à l’Université de Massachusetts, Boston, a également reçu la publication spéciale de la LBV (dans sa version en anglais). À son côté, la représentante de la LBV à l’évènement, Conceição Albuquerque. (Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le représentant de la LBV à l’évènement, Felipe Duarte (à g.), présente les recommandations de l’Institution à M. Joel Khathushelo Netshitenzhe, Institut de Mapungubwe de réflexion stratégique (MISTRA, avec le sigle en anglais) et représentant de la Commission nationale de planification d’Afrique du Sud. (Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — L’équipe de la Légion de la Bonne Volonté pour l’évènement fraternise avec Mme. Chantal Uwizera (au centre), de la mission permanente de Rwanda auprès des Nations Unies. Entre ses mains, le magazine Bonne Volonté Développement Durable, publication spéciale de la LBV, éditée en portugais et en trois des langues officielles de l’ONU : l’anglais, l’espagnol et le français. (Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — De France, chargée de mission Développement durable Claire Vancauwemberge reçoit les salutations de Mariana Tamasan et Felipe Duarte, représentants de la Légion de la Bonne Volonté à l’évènement. En cette occasion, ils lui ont présenté les recommandations de la LBV envoyées au Forum des Nations Unies : « Atteindre les Objectifs du Millénaire pour le développement et ouvrir la voie à un programme de développement ambitieux et porteur de changement pour l’après-2015, y compris les objectifs de développement durable ». (Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la Légion de la Bonne Volonté à l’évènement Sâmara Malaman (à dr.) fraternise avec le conseiller pour les sciences et la technologie auprès du Secrétaire d'État des États-Unis, Dr William Colglazier, et présente la publication spéciale de la LBV. (Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mme. Siti Mardhiana Jorsni, deuxième secrétaire de la Mission permanente du Brunei auprès de l’ONU, a également reçu le magazine Bonne Volonté Développement durable au cours de l’évènement. (Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — De gauche à droite : Dr Lisinka Watowska, coordinatrice de Commons Cluster pour les Nations Unies ; Dr Rob Wheeler, cofondateur et représentant de Commons Action pour les Nations Unies ; et le jeune Nicholas Beck de Paiva, de la LBV. Entre leurs mains, la publication spéciale de l’Institution en anglais. (Foto: Mariana Tamasan)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Ligia Figueiredo, du Ministère affaires étrangères du Portugal, reçoit le message de la LBV des mains du jeune Felipe Duarte, de l’Institution. (Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV à l’évènement, Mariana Tamasan (à g.), remet la publication spéciale de l’Institution à Mme. Jill Jäger, chercheuse indépendante de Sustainable Europe Research Institute (SERI).(Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le président élu du Conseil international pour la science (sigle en anglais : ICSU), Gordon McBean (à g.), a reçu le message de la Légion de la Bonne Volonté envoyée spécialement pour l’évènement, des mains du jeune Nicholas Beck de Paiva, de l’Institution.(Foto: Mariana Tamasan)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le représentant de la LBV à l’évènement présente le message de l’Institution au Dr Nebojsa Nakicenovic (à g.), directeur de l’Institut international pour l’analyse des systèmes appliqués (IIASA), d’Autriche.(Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le panneau discute l’importance du dialogue entre science et politique pour l’élaboration du rapport de développement durable, et il a eu lieu ce mardi 1er juillet. Le Forum organisé par les Nations Unies propose l'élaboration du programme de développement de l'après 2015. « Nous nous engageons dans la dernière étape vers la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), dont l'échéance est fixée à 2015 », affirme l’ambassadeur Martin Sadjik (au centre), président du Conseil économique et social de l’ONU (ECOSOC). (Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — À l’exemple de la représentante de la délégation d’Albanie (photo), différentes autres délégations participant du Forum politique de haut niveau pour le développement durable reçoivent les recommandations de la Légion de la Bonne Volonté envoyées spécialement pour l’évènement.(Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le participant lit l’article du président de la LBV, le journaliste, homme de la radio et écrivain José de Paiva Netto, intitulé « Solidarité et droits de l’homme dans le monde ». Dans cet article, l’auteur met en évidence l’important rôle de tous, en particulier des femmes, pour la défense des devoirs et droits des êtres humains, ainsi que ses voeux de succès pour l’événement. (Foto: Nataly Peres)NEW YORK, EUA — La Légion de la Bonne Volonté met à la disposition des participants de l’évènement une publication spéciale éditée en portugais et dans les trois langues officielles des Nations Unies : l’anglais, l’espagnol et le français.(Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le directeur de la politique du changement climatique du Département de l'environnement, du gouvernement communautaire et local d’Irlande, Mr. Owen Ryan, reçoit le message de la Légion de la Bonne Volonté envoyé spécialement pour l’évènement, des mains de Mariana Malaman, de l’Institution.(Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le jeune Felipe Duarte (à g.), de la LBV, présente les recommandations de l’Institution à M. Godwin Fishani Gondwe, directeur du Département de Gestion de l'environnement et des ressources naturelles du Ministère des terres, des ressources naturelles et de la protection de l’environnement de la République de Zambie.(Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le représentant de la LBV auprès des Nations Unies, Danilo Parmegiani (à dr.), dialogue avec M. Ned Sibeya, de la Commission nationale de planification de la République de Namibie, et lui remet les recommandations de l’Institution en anglais.(Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — À l’aide du magazine Bonne Volonté Développement Durable, les participants de l’évènement ont l’opportunité de connaître les programmes et les bonnes pratiques de la LBV qui signalent l’éducation comme l’un des principaux outils pour l’accomplissement de l’agenda mondial pour l’après-2015.(Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le recteur et professeur de l’Université d’Oslo, Norvège, Ole Petter Ottersen (à g.), fraternise avec Danilo Parmegiani (à dr.), représentant de la LBV auprès des Nations Unies, et reçoit les recommandations de l’Institution, dans sa version en anglais.(Foto: Nataly Peres)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mme. Elisabeth Shuman, représentante de l’Association for Childhood Education International (ACEI) auprès des Nations Unies, connaît le travail développé par la LBV au Brésil et dans d’autres six pays où elle possède des bases autonomes (Argentine, Bolivie, États-Unis, Paraguay, Portugal et Uruguay).(Foto: Nicholas de Paiva)NEW YORK, EUA — Sara Luna de la délégation du Mexique reçoit le magazine Bonne Volonté Développement Durable, en espagnol.(Foto: Nataly Peres)
NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Pendant la conférence de l’ECOSOC, le représentante de la LBV auprès des Nations Unies, Danilo Parmegiani, fraternise avec la Mme. Rita Schwarzelühr-Sutter, secrétaire d’État parlementaire au Ministère fédéral de l’environnement, de la conservation de la nature, de la construction et de la sûreté nucléaire, et membre du Bundestag allemand.
Au cours des rencontres, la Légion de la Bonne Volonté présente ses bonnes pratiques sociales et éducatives, outre ses recommandations qui sont le résultat de plus de six décennies d’action et des débats qu’elle a promu en 2013 avec plusieurs secteurs de la société lors des rencontres préparatoires dans quatre pays d’Amérique Latine.
L’Organisation s’est engagée à défendre une éducation de qualité. Alors que les États définissent leurs priorités communes pour résoudre les défis mondiaux, la LBV défend l’éducation comme le principal outil pour l’accomplissement des objectifs pour l’après-2015.
Dans l’article intitulé « Solidarité et droits de l’homme dans le monde », publié dans l’édition 2014 du magazine BONNE VOLONTÉ Développement Durable (2014), le président de la LBV, le journaliste, homme de la radio et écrivain, José de Paiva Netto, souligne le rôle important de tous, en particulier des femmes, pour la défense des devoirs et droits des êtres humains, de même que ses voeux de succès pour l’évènement. Disponible en anglais, espagnol, français et portugais, le contenu de la publication peut également être téléchargée sur tablettes et smartphones (iOS et Android).
En cas de doutes et pour d’autres informations sur la participation de la LBV, parlez avec nous.
Éducation et Citoyenneté Pleine dans l’agenda mondial
De la rédaction
25/06/2014 à 14:40, Mercredi | Mis à jour le 22/09 à 16:07
Cette déclaration présente les propositions de la Légion de la Bonne Volonté (LBV) sur le thème du Débat de haut niveau du Conseil économique et social (ECOSOC) en 2014 : « Les moyens de répondre aux défis persistants et émergeants pour réaliser les Objectifs du Millénaire pour le développement d’ici à 2015 et faire des avancées en matière de développement durable à l’avenir ». La LBV place l’éducation au cœur du programme de développement mondial et souligne ses liens avec la santé, les questions de genre, l’inclusion productive, la durabilité et le maillage social.
Leilla Tonin
Ces recommandations sont le résultat de plus de six décennies de travail menées par la LBV et des débats tenus lors de la série d’événements organisés par l’Institution du 20 au 29 novembre 2013, en Argentine, en Bolivie (État plurinational de), au Paraguay et en Uruguay, dans le cadre du 10e Forum Intersectoriel Réseau Société Solidaire. Les rencontres ont reçu le soutien du Département des affaires économiques et sociales (DAES/ONU) et ont vu la participation de représentants de plusieurs entités du système des Nations Unies (UNIC, UNESCO, UNICEF et Pacte mondial).
LES DOMAINES D’ACTION DE LA LBV
L’Institution maintient des basesautonomes dans les quatre pays cités, aux États-Unis et au Portugal, en plus de ses 77 unités d’accueil au Brésil. Elle a été fondée le 1er janvier 1950 (Jour de la Fraternisation universelle) dans la ville de Rio de Janeiro, au Brésil, par le journaliste, homme de radio et activiste social Alziro Zarur (1914-1979), auquel a succédé à la présidence de la LBV, José de Paiva Netto, journaliste, homme de radio et écrivain. La LBV agit par l’intermédiaire de Centres communautaires d’assistance sociale, d’écoles, d’abris pour les personnes âgées, de campagnes et de mesures d’urgence. En 2013, plus de 277 000 personnes ont été touchées par son travail social transformateur dans tous les pays où elle possède des bases autonomes.
Entre les années 2000 (année de lancement des objectifs du Millénaire pour le développement) et 2013, au Brésil seulement, 90 millions de personnes en situation de vulnérabilité ou risque social ont bénéficié des services ou de l’accueil de l’organisation, un investissement qui a pu se faire grâce aux dons des particuliers.
En parallèle, l’Organisation s’est également engagée dans des actions de plaidoyer en participant à des conseils pour la protection des droits des citoyens, conseils qui permettent à la société civile de maintenir le dialogue avec les administrateurs publics.
Sur le plan international, elle s’est associée au Département de l’information (DPI) des Nations Unies depuis plus de deux décennies et a un statut consultatif général à l’ECOSOC il y a 15 ans, depuis 1999.
La communication occupe une place importante dans le travail de la Légion de la Bonne Volonté dès son origine, puisqu’elle existait déjà comme idée et mouvement œcuménique dans l’émission radiophonique L’Heure de la Bonne Volonté, qui avait commencé quelques mois auparavant (le 4 mars 1949), sur la Radio Globo de Rio de Janeiro/RJ. Ainsi, la LBV utilise aujourd’hui un vaste réseau de radio, télévision, presse écrite et Internet pour défendre de causes sociales et environnementales et pour promouvoir l’éducation, la culture, le développement social et les valeurs de la citoyenneté. Après avoir formé des centaines de professionnels de la communication en leur inculquant cette vision unique, l’Organisation se prépare actuellement à ouvrir à São Paulo, au Brésil, une école technique de l’audiovisuel.
L’ÉDUCATION ET LES ODD
L’Organisation s’est engagée à défendre une éducation de qualité. Alors que les États définissent leurs priorités communes en matière d’éducation pour les prochaines années (dans le cadre des objectifs de développement durable), la Légion de la Bonne Volonté juge nécessaire d’ajouter aux indicateurs de progrès actuels des mécanismes permettant d’évaluer non seulement les compétences en langues et en sciences exactes, mais aussi le nombre de cas d’intolérance et de violence, les comportements malsains (y compris la consommation de drogues légales et illégales), la participation solidaire et démocratique, le bien-être subjectif et l’adhésion à des comportements écologiques.
Ce sont là quelques-unes des statistiques dont l’amélioration est viable quand on renforce l’approche préventive des politiques publiques, en particulier celles dans le domaine de l’éducation. La Légion de la Bonne Volonté utilise diverses stratégies pour encourager systématiquement la réflexion avec les élèves, comme des forums infanto- juvéniles, des concours culturels et des ateliers de débat et de production artistique. Développés au cours de l’année à travers des activités socio-éducatives, les forums comportent des rencontres spéciales ouvertes à la communauté, où les enfants et les jeunes sont les principaux acteurs, y compris dans la conduite des événements.
Un autre domaine d’action concerne la sécurité infanto-juvénile. Parce que 60 % des personnes accueillies par la LBV à travers ses programmes socio-éducatifs sont des enfants et des adolescents issus de familles à bas revenus, l’Institution est engagée dans des initiatives intersectorielles visant à protéger les publics vulnérables à l’exploitation et la traite des êtres humains.
Vivian R. Ferreira
Ses écoles accueillent les enfants en journée complète, dès l’âge de 4 mois, pour que leur mère puisse travailler et compléter le revenu familial. Les Gouvernements des pays dans lesquels la LBV est implantée ont suivi cette voie et ont tout mis en œuvre pour qu’un maximum d’enfants du système public puissent également bénéficier de cet avantage.
La LBV cible les familles les plus pauvres en cherchant à compenser les désavantages sociaux qui atteignent leurs enfants. Les enfants et les familles qui bénéficient de l’aide (la mère uniquement, en général) sont donc suivis par une équipe multidisciplinaire, composée de travailleurs sociaux, de psychologues, de nutritionnistes et d’éducateurs. Leurs communautés sont intégrées dans des programmes et des projets d’inclusion sociale qui contribuent au développement durable. Afin de répondre à la demande en matière d’alimentation, d’éducation, de revenu, de santé et d’environnement, ce travail s’aligne sur les activités menées par les organismes publics, les autres organisations et les partenaires professionnels.
Cette attention intégrale donnée à l’individu a permis d’obtenir des résultats expressifs, comme un indice nul de décrochage scolaire, un environnement où l’on encourage une Culture de la Paix, et un rendement scolaire supérieur à la moyenne nationale. Cela démontre que la création d’espaces de réflexion et d’expérience de la citoyenneté et des valeurs œcuméniques, c’est-à-dire, universelles, collaborent pour améliorer les résultats scolaires des élèves.
Dans le domaine de la santé, par exemple, l’Institution développe depuis plus de deux décennies la campagne éducative Ne vous droguez pas. Vivre c’est mieux ! Des efforts dans ce sens sont extrêmement nécessaires. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), 14 % de la charge mondiale de morbidité est attribuée aux troubles mentaux, neurologiques et à l’utilisation de substances psychoactives. Le coût élevé du traitement de ces maladies, auquel seule une minorité a accès, peut être considérablement réduit dans le cas de la consommation de drogues ou de médicaments non prescrits. Les données du Rapport annuel 2013 de l’Organe international de contrôle des stupéfiants montrent que chaque dollar investi dans la prévention permet d’économiser jusqu’à dix dollars en dépenses ultérieures pour les gouvernements.
La LBV a systématisé son expérience éducative par l’intermédiaire de la Pédagogie de l’Affection (destinée aux enfants de moins de 10 ans) et de la Pédagogie du Citoyen Œcumenique (à partir de 11 ans) qui font partie de la ligne pédagogique créée par l’éducateur Paiva Netto. Sa méthodologie de travail intégrée — la Méthode d’Apprentissage par la Recherche Rationnelle, Émotionnelle et Intuitive (MAPREI) — et ses programmes structurés qui tiennent compte des paramètres de chaque pays font de plus en plus souvent l’objet d’études scientifiques et donnent lieu à des formations destinées aux enseignants du public et du privé dans de nombreux pays.
Lors de l’inauguration du Centre Éducatif de la LBV, à Rio de Janeiro en 1996, dans un discours prononcé à plus de cent mille personnes, le président de la LBV, José de Paiva Netto, a déclaré :
« (...) On se plaint que les enfants et les jeunes des rues volent, tuent, s’introduisent illégalement dans les maisons, ennuient les autres enfants et les autres jeunes qui ont les moyens de vivre confortablement. Cependant ils ne font que rendre ce qu’on leurs offre. Si on leur donne des immondices, comment vont-ils rétribuer ? Alors pourquoi se plaindre ? (...) Cette question de l’enfance et de la jeunesse des rues mérite une sérieuse réflexion, pour que des mesures adéquates soient prises. »
FORUM INTERSECTORIEL
Le 10e Forum Intersectoriel Réseau Société Solidaire a réuni des représentants gouvernementaux, des entreprises, des organisations de la société civile, des institutions universitaires et des citoyens ordinaires dans quatre pays d’Amérique du Sud. Les réunions ont eu lieu autour du thème « Les chemins de l’avenir pour l’Éducation — l’enseignement dans l’agenda mondial de développement pour l’après-2015 ». Le Forum a adopté une approche universelle, mais n’a pas manqué de souligner les inégalités et les différences culturelles dans chaque région. Le forum fait partie d’un processus continu d’articulation entre des organisations de la société civile, des organismes publics et des entreprises, et il est réalisé par la LBV dans le but d’améliorer les résultats d’actions sociales transformatrices. Afin de renforcer le réseau dans différentes villes, l’Institution organise en partenariat avec d’autres organisations des réunions de formation avec des acteurs sociaux, en particulier les leaders communautaires, en contribuant ainsi à développer une action plus qualifiée, en harmonie avec les politiques publiques et les engagements internationaux de chaque pays dans le domaine des droits de l’homme.
L'édition paraguayenne du 10e Forum Intersectoriel Réseau Société Solidaire, de la LBV.
Voici certaines recommandations et bonnes pratiques formulées par le Forum intersectoriel :
— Établir un lien entre le processus éducatif et les programmes de développement durable au niveau local, régional et national, et mettre en œuvre des politiques qui intègrent les jeunes dans les processus politiques décisionnels.
— Préparer, dans les universités, des programmes de responsabilité sociale basés sur des expériences réussies et intégrer dans les cursus des stages obligatoires en milieu social ou communautaire.
— Reformuler les programmes éducatifs et former les enseignants pour favoriser un plus grand rôle des étudiants.
— Mettre en place dans les écoles d’éducation de base des programmes destinés à aider les parents, les enseignants et les adultes qui s’occupent d’enfants à aborder la question de la consommation responsable en leur fournissant les outils nécessaires pour échanger avec des enfants de différents âges et milieux sociaux.
— Créer de nouveaux indicateurs mondiaux pour évaluer les politiques éducatives en termes d’égalité des sexes, car, malgré les progrès accomplis dans l’éducation des filles, il subsiste des inégalités néfastes, la principale étant la discrimination à l’égard de certains groupes ethniques.
— Formuler, dans les pays anciennement colonisés, des politiques d’action positive pour inclure les langues autochtones dans les programmes d’enseignement.
— Créer, dans le cadre des Nations Unies, un Conseil œcuménique consultatif sur la spiritualité, qui interagisse avec les gouvernements locaux et les organisations internationales, reconnaissant la spiritualité comme un droit constitutif de la dignité humaine. Introduire cette thématique à tous les niveaux de l’éducation et encourager sa diffusion dans les moyens de communication de masse.
ŒCUMÉNISME
La cause œcuménique est défendue par la Légion de la Bonne Volonté comme une voie pour promouvoir la Culture de la Paix et de la tolérance ethnique et religieuse. Ce concept « qui transcende de loin l’aspect religieux », préconise « la réconciliation universelle de toute la connaissance humaine et spirituelle, dans une force puissante au service des peuples », comme le définit Paiva Netto.
CONCLUSION
La Légion de la Bonne Volonté est prête à collaborer avec pays et organisations pour élargir les activités présentées ci-dessus et reproduire ses technologies sociales.
L’organisation est convaincue que l’investissement dans l’éducation est la technologie sociale la plus efficace. Conformément à la thèse défendue depuis des décennies par l’éducateur Paiva Netto, « quand nous luttons en faveur de la durabilité, que celle-ci soit comprise dans son sens le plus profond et pas seulement dans la perspective d’une pensée économique qui survit à travers la cupidité, en liquidant non seulement les êtres humains en raison du chômage, de la faim dans plusieurs régions de la planète, mais aussi à travers le manque d’instruction qui nie de meilleures perspectives pour la jeunesse. Cependant, il existe partout des efforts de gens décidés à corriger cette situation, qui entrave la croissance de nombreux pays. Et il ne suffit pas d’instruire, il faut éduquer, rééduquer ! Dans de nombreux endroits où l’économie est devenue plus forte, après un certain temps, en raison du manque d’investissement dans les principes éthiques et spirituels, la violence, qui avait diminué, refait surface, issue souvent de l’arrogance envers ceux qui ont moins à l’intérieur de leurs frontières ou hors d’elles. Ici, on atteint les relations internationales. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas eu d’éducation, bien plus encore, de rééducation, qui est l’Éducation fondée sur la Spiritualité Œcuménique ».
10/06/2014 à 17:37, Mardi | Mis à jour le 22/09 à 16:07
Arquivo pessoal
Álvaro et sa mère, Celia. Grâce à la participation de sa famille et au soutien de la LBV, le petit garçon a surmonté des difficultés de langage et de rapports avec les autres.
Dans la salle de classe des enfants de moins de 4 ans de l’École de la Légion de la Bonne Volonté de Buenos Aires, le petit Álvaro Huallpa Castro était le plus ravi d’apprendre. C’est pendant un cours d’alphabétisation que l’équipe de reportage de la revue BONNE VOLONTÉ a eu une agréable surprise : l’enfant écrivait son nom pour la première fois. Álvaro est arrivé à la LBV en 2007, à l’âge de 2 ans. En peu de temps, le comportement inhabituel du petit garçon a attiré l’attention des professionnels de l’Institution. « Il n’avait pas développé le langage, il ne savait pas entrer en relation avec les enfants ou jouer avec eux, il était très en retrait, il ne comprenait pas les questions et il manifestait souvent de la peur », a raconté Alejandro Puchetta, éducateur.
Les parents d’Álvaro, Nicolás et Celia, ont été informés par l’équipe de psychopédagogues de la LBV des difficultés de l’enfant dans l’apprentissage et la vie en collectivité. Avec la participation de la famille, l’école a mis en place un traitement qui a réuni un psychologue, un orthophoniste et un aide médico-hospitalier. « Nous avons commencé à travailler à partir de sa relation avec l’autre, comme regarder les personnes dans les yeux (car il détournait le regard), en allant jusqu’au développement du langage », a expliqué l’éducateur. Avec la thérapie, Álvaro a progressé.
Il a commencé à communiquer, et les résultats scolaires se sont vite améliorés, grâce à participation et à l’effort de tous — parents, éducateurs, médecins et le petit garçon lui-même, qui a beaucoup fêté avec ses camarades le premier mot qu’il a écrit.
En 2009, Álvaro a terminé les études à l’école maternelle de la LBV. Malgré ses progrès, la famille Huallpa a rencontré des difficultés pour l’inscrire dans une école ordinaire, en raison du trouble dans l’attention et la parole. À la demande des parents, la LBV est alors intervenue et le petit garçon a été accepté dans un établissement d’enseignement de l’État. Aujourd’hui, il a 7 ans, il est en première année de l’enseignement élémentaire et il est encore suivi par des professionnels de l’Institution, qui maintient contact direct avec la direction de la nouvelle école.
Pour les parents, qui n’auraient pas eu les moyens de payer une école avec des classes sur toute la journée (période intégrale) et un traitement médical de qualité, la LBV a redonné l’espoir d’un avenir meilleur. « Il est notre joie et nous rend plus unis. Surtout maintenant où nous sommes en train de surmonter son problème », a dit sa mère.
Aidez la Légion de la Bonne Volonté à aider ceux qui en ont besoin ! Tout le travail réalisé par la Légion de la Bonne Volonté est fait grâce à l’aide financière ou bénévole du peuple brésilien et étranger. Faites vous aussi partie de ce mouvement. Revêtez la chemise de la Bonne Volonté ! Accédez à www.legionofgoodwill.org et par le site de la LBV des États-Unis faites votre contribution online.
LBV DE L'ARGENTINE
Quand elle est arrivée en Argentine, en 1985, la LBV concentrait ses actions dans un réfectoire, qui offrait un soutien et de la nourriture aux familles du Foyer Warnes. En 1990 a été inaugurée l’École Maternelle Jésus (aujourd’hui installée dans une zone de 1530 m2), où sont offertes gratuitement une éducation en période intégrale et une assistance alimentaire.
Dans le même local, depuis 2001, fonctionnent les programmes LBV — Enfant : le Futur au Présent ! et Cuisine de base et qualité de vie. Une autre initiative importante est la Ronde des Jouets, à l’Hôpital pour enfants Pedro de Elizalde. En 2007 a commencé l’École Mobile, avec des activités éducatives pour les enfants des rues. Pour plus d’informations : www.lbv.org.ar.
Le loisir actif est bénéfique pour une vieillesse heureuse
De la rédaction
02/06/2014 à 15:31, Lundi | Mis à jour le 22/09 à 16:08
Savoir profiter du temps libre en arrivant au troisième âge est un défi. Et les loisirs recherchés pendant cette période requièrent une orientation spécialisée. D’après des étudiants en licence du cours de thérapie occupationnelle de l’Université Fédérale de Minas Gerais (UFMG) au Brésil, 26 % de la journée des personnes âgées est dédié à des activités de loisir. Bien que les loisirs inactifs soient communs à ce groupe d’âge, des loisirs plus actifs peuvent leur apporter plus de bénéfices, telles les activités de thérapie occupationnelle. Parmi elles, l’étude présente l’artisanat, la danse, les groupes de conversation et l´incitation à la lecture.
Vivian R. Ferreira
Les loisirs actifs au troisième âge peuvent éveiller les possibilités des personnes âgées sur les aspects créatifs et sociaux, favoriser des périodes de socialisation, partager d’expériences, stimuler la communication et l’apprentissage de choses nouvelles leur permettant une vie plus satisfaisante et de qualité.
PROMOUVOIR UN TROISIÈME ÂGE PLUS SALUTAIRE
La Légion de la Bonne Volonté (LBV) valorise la personne âgée en considérant son histoire de vie et en ciblant les opportunités pour qu’elle vive son troisième âge de façon salutaire et heureuse. Dans ses Foyers pour personnes âgées (à Volta Redonda, Teófilo Otoni et Uberlândia, au Brésil), l’Institution offre le support et les soins et assure une alimentation équilibrée et savoureuse, des activités physiques régulières en accord avec la nécessité de la personne accueillie, une aire de loisir où elles peuvent aussi être en contact avec la nature, ainsi que l´assistance médicale et l´accueil social. La LBV accueille des personnes âgées, sans références et/ou éloignées de leur centre familial.
Vivian R. Ferreira
En outre, la LBV réalise dans ses Centres Communautaires d’Assistance Sociale des programmes orientés vers le troisième âge, à l’exemple du Vie Pleine ! qui organise des activités qui respectent et valorisent leurs expériences, leur offrant un espace salutaire pour le dialogue, le renforcement de la citoyenneté et la garantie de leurs droits. Les plus jeunes participent à des conférences éducatives, à des promenades culturelles et à des activités qui éveillent leurs connaissances et les font sortir de la routine.
« À la LBV nous nous sentons chez nous, nous oublions nos problèmes, ils diminuent. Avant je restais toujours couchée, déprimée. Et puis, j’ai commencé à fréquenter la LBV et j’ai beaucoup aimé. Aujourd’hui, je me sens heureuse, je suis une personne plus tranquille, les jours où je dois venir ici je suis très satisfaite car je sais que je vais avoir une journée merveilleuse », dit Luci de Araújo.
Vivian R. Ferreira
Toutes les activités sont programmées par la coordination du programme qui essait de trouver la solution aux défis de chaque participant. Et le retour en est très positif. « Nous profitons beaucoup des réunions, ce sont des personnes très amies, la LBV est tout ce qu’il y a de bon. Ma vie a déjà changé, la dépression, le stress, la fatigue, les mauvaises pensées ont disparu. Aujourd’hui, tout va mieux, je n´ai que de la joie », affirme Rosa Helena Ribeiro.
Données montrent l’importance de la protection de l’eau dans le monde
De la rédaction
30/05/2014 à 10:20, Vendredi | Mis à jour le 22/09 à 16:07
L’eau est l’une des principales ressources naturelles qui génèrent la vie sur la planète. C’est pourquoi toute la société doit quotidiennement faire attention à son utilisation car les statistiques sont inquiétantes. Pour discuter l’importance de l’eau, l’équipe du Portail Bonne Volonté a interviewé le docteur brésilien Paulo Lopes Varella Neto, 57 ans, hydrogéologue et gouverneur du Conseil Mondial de l’Eau (WWC).
Clark Little
Il y a beaucoup d’eau sur la planète : 1,4 milliard de km³, d’après l’Organisation des Nations Unies (ONU). Cependant, si l’on considère que « 70 % de la Terre est recouverte d’eau salée, (…) nous devons préserver le liquide pour l’approvisionnement de la population, la production d’aliments et d’énergie, la navigation etc... c’est le grand défi qui se trouve entre nos mains », a expliqué le docteur Varella, en interview exclusive. Et cela car d’après lui « l’urbanisation et la pollution qui les accompagnent font aussi que l’eau soit acquise toujours plus loin et toujours plus chère. Nous sommes aujourd’hui sept milliards et nous serons 9 milliards en 2050. Donc, la situation a tendance à devenir beaucoup plus compliquée : nous aurons besoin de 50 % de plus de cette ressource jusqu’à cette date ».
L’ONU signale encore que près d’1 milliard de personnes n’ont pas un accès suffisant à l’eau potable pour répondre à leurs nécessités quotidiennes de consommation et d’hygiène. Pour vivre avec dignité, une personne a besoin de 110 litres d’eau par jour. Malheureusement, « à chaque 20 secondes nous perdons un enfant à cause de maladies liées au déplacement hydrique », alerte Varella. Et l’organisation prévoit aussi qu’en 2025, 1,8 milliard de personnes manqueront complètement d´eau. Il ne faut donc pas attendre la venue d´une possible crise mondiale pour changer nos habitudes de consommation.
« [Nos actions] affectent déjà notre présent. Nous avons de très sérieux problèmes actuellement. Il faut économiser l’eau, l’utiliser à des degrés acceptables. (…) Si nous prenons conscience de cela, tout peut changer. Nous devons passer du stade de simples observateurs au stade d’acteurs de ce processus. Et c’est la façon de trier les ordures, de prendre notre bain, de laver la voiture qui va nous permettre d'aider réellement », alerte l’hydrogéologue brésilien.
LE TEMPLE DE LA BONNE VOLONTÉ ET LA PROMOTION DE LA VIE
Il est bon de souligner la contribution du Temple de la Bonne Volonté (TBV), la Pyramide des Âmes Bénies et des Esprits Lumineux au respect de l’eau. Établi dans la capitale du Brésil, le fondateur du TBV, José de Paiva Netto, a fait afficher le message de prise de conscience suivant : « L’Eau est Vie, sans elle tout type d’existence devient impossible. La polluer est un crime de lèse-humanité ».
Clayton Ferreira
La Fontaine Sacrée du Temple de la Bonne Volonté.
Étant assidu du Temple de la Paix, Paulo Lopes Varella a tenu à mentionner dans son interview : « Son ensemble est très agréable, très accueillant. J’y vais souvent, je parcours la Spirale, j’écoute un peu les musiques élevées et j’apprécie les lieux. Je suis spirite et je pense que nous avons tous le droit et la chance d´avoir d’autres croyances. Je crois vraiment en la Spiritualité Majeure. Ce qui est vraiment valable, c’est l’Amour pour les créatures ».
30/05/2014 à 10:10, Vendredi | Mis à jour le 22/09 à 16:07
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) calcule qu’un décès sur huit dans le monde est provoqué par l’exposition à l’air pollué. Des données confirment que la mauvaise qualité de l’air a été le premier facteur environnemental de risques pour la santé, en 2012, près de 7 millions de personnes ont péri à cause de la pollution de l’air, deux fois plus que les estimations antérieures. Les maladies de cœur, les thromboses et les obstructions chroniques des poumons sont les principales conséquences de la pollution.
Une meilleure connaissance de l´exposition à l´air pollué sur les humains et des technologies avancées servant à mesurer ces données donnent les bases de la nouvelle évaluation. Ces progrès permettent aux scientifiques d’analyser en détail les risques pour la santé, couvrant d'autres zones géographiques.
« Les risques de la pollution de l’air sont maintenant beaucoup plus élevés que ce que l’on imaginait en particulier en ce qui concerne les maladies coronaires et les accidents vasculaires cérébraux [AVC] », a déclaré Mme Maria Neira, directrice du Département de la santé publique, déterminants sociaux et environnementaux de la santé à l’OMS.
Dans les régions du Sud-est Asiatique et du Pacifique Occidental, un grand nombre de décès a été enregistré avec un total de 3,3 millions liés à la pollution de l’air intérieur – comme dans les maisons avec four à bois – et 2,6 millions de morts associés à la pollution de l’air extérieur. « Les femmes et les enfants pauvres paient un prix élevé à cause de la pollution de l’air intérieur car ils passent beaucoup de temps à la maison et respirent la suie des fourneaux à charbon et au bois », explique Flavia Bustreo, directrice-générale adjointe pour la santé des femmes et des enfants à l'OMS.
L’OMS souligne que réduire la pollution atmosphérique peut sauver des millions de vies. « Peu de facteurs de risque ont aujourd’hui un impact plus grand sur la santé mondiale que la pollution de l’air ; les évidences nous alertent qu´une action massive est nécessaire pour nettoyer l’air que nous respirons », a signalé Maria Neira.
Pour remédier à cette santé fragilisée, le médecin brésilien Paulo Saldiva préconise des investissements en aménagement urbain, transports en commun et assainissement de base, exigeant des autorités des actions intégrées entre les ministères et les secrétariats. « Ce qu’il manque, c’est de créer un peu la société protectrice de l’homme. Cet être humain qui vit à la périphérie, qui a besoin de se réveiller tôt pour aller travailler, qui est bousculé dans des transports publics inadéquats, qui subit les conséquences des vagues de chaleur et d’une humidité faible ou quand il pleut, qui doit entrer dans des torrents d’eau pour sauver ses biens, ou quand il reçoit une grande dose de polluants », alerte-t-il.
Ainsi, pour le médecin Saldiva, après avoir fait un relevé des questions pertinentes au bien-être collectif, on peut réfléchir au type de ville que tous le monde souhaite. « Et je ne parle pas seulement de l’esthétique ; nous réagissons à notre environnement... s’il est bon, nous aurons une meilleure réaction. Cela concerne l’éthique, la dignité humaine, la promotion de la santé ».
Les bonnes initiatives en matière de transport
Na capital alemã, para cada mil habitantes há 720 bicicletas e apenas 320 carros. Todos os anos são investidos 5,5 milhões de euros na segurança das ciclovias.
Les données obtenues dans les villes de Londres (Royaume-Uni) et New Delhi (Inde) indiquent une réduction de la sédentarité et de la concentration locale de polluants obtenue à partir de mesures visant à encourager la mobilité active, comme le cyclisme et la marche, et l’adoption de moteurs à faibles émissions de carbone (Woodcock, 2009). Dans le cas de la capitale britannique, on a estimé à un taux entre 10 % et 20 % la réduction de l’incidence de maladies cardiaques et d’ischémie cérébrale, une réduction de 12 % à 13 % pour le cancer du sein, 8 % pour la démence et 5 % pour la dépression. Dans la capitale indienne, les projections indiquent une diminution de 11 % à 25 % du signalement de maladies cardiaques et cérébrovasculaires et une réduction entre 6 % et 17 % des dépenses pour le diabète.
(Source : « Charte de recommandations en matière de santé, São Paulo, C40 2011 »).
Légende: Situation critique dans la ville de Pékin, capitale de la Chine. La densité de particules PM2,5, les plus dangereuses et susceptibles de s’infiltrer dans les poumons, a dépassé les 400 microgrammes par mètre cube, bien au dessus du maximum de 25 établi par l’OMS.
Livres pour enfants : encourager une bonne habitude
De la rédaction
23/04/2014 à 12:06, Mercredi | Mis à jour le 22/09 à 16:57
L'incitation à la lecture compte parmi les activités des écoles et des Centres Communautaires d’Assistance Sociale de la Légion de la Bonne Volonté (LBV). Grâce à ses programmes et ses projets socio-éducatifs, les livres devient une source instructive et la lecture est encouragée auprès de toutes les générations, dès le plus jeune âge.
Dans les écoles, outre qu’elle fait partie des contenus pédagogiques d’une formation d'excellence pour les apprenants, la stimulation du goût pour les livres se fait dans une démarche qui inclut l’enseignant, l'élève et la famille. De cette façon, chacun est conscient de son rôle dans l’enrichissement de la culture des apprenants.
Vivian R. Ferreira
Dans les écoles de la LBV, la lecture est faite aussi en famille.
Pour les bébés, des livres pour enfants sont disposés dans la salle d'activités, à la portée de leurs petites mains, de sorte qu’ils s’intéressent d'abord aux images en couleur. Les enseignants profitent de ce moment pour enseigner des chansons et réaliser d'autres activités qui aident à développer leurs capacités cognitives.
À l’École Maternelle Alziro Zarur de la LBV à Taguatinga (Brésil), le professeur Tatiana Alves souligne l'importance de cette incitation pour ceux qui ne savent pas encore lire : « La lecture précède l'écriture, alors c'est très important, non seulement pour les enfants, mais pour nous tous ».
Elle explique que chaque week-end, les enfants qui sont déjà un peu plus âgés emportent à la maison un dossier de littérature, avec un livre pour la lecture en famille. Le soutien des parents est essentiel dans ce processus, comme le souligne l'éducatrice : « À mesure que les parents lisent pour leur enfant, que se passe-t-il ? L'union entre la famille. Les parents acquièrent également des connaissances et nous aident dans l'éducation de leur enfant ».
Vivian R. Ferreira
Biblioteca Bruno Simões de Paiva é inaugurada em SP; coleção conta com 25 mil livros
Directrice de l’École Maternelle Jésus, maintenue par la LBV à Belém (Brésil), Margarida Martins dit que cette incitation est l’occasion d’un moment particulier : l'échange de connaissances entre les petits. « L’un des faits intéressants est la transmission de culture et d'éducation, car ils apportent leurs expériences et leur lecture du monde quand ils vont interpréter les histoires qu'ils ont pu lire. Cela permet le développement et l'apprentissage de l'enfant, car cela améliore la concentration et l'écrit », explique-t-elle.
Les unités sociales et éducatives de la Légion de la Bonne Volonté comptent des bibliothèques et/ou salles de lecture, équipées de nombreuses publications pour la jeunesse, qui contribuent à la formation des apprenants. L'institution promeut également des projets qui incluent des voyages à des foires littéraires et l’heure du conte.
Dans les Centres Communautaires, la LBV favorise le développement de l'habitude de la lecture, de l'écriture correcte et de la pensée logique des enfants, par l'intermédiaire de l'Atelier du Savoir, qui fait partie des actions du programme LBV – Enfant : le Futur au Présent !.
Visitez, passionnez-vous et aidez la Légion de la Bonne Volonté ! Vous pouvez contribuer rapidement et en toute sécurité au maintien et à l'expansion de ce travail pour le développement intégral des enfants, des jeunes et des adultes. Accédez au site www.legionofgoodwill.org et faites votre don maintenant.
La Légion de la Bonne Volonté du Portugal célèbre 26 ans
De la rédaction
02/03/2015 à 14:00, Lundi | Mis à jour le 22/09 à 16:57
La Légion de la Bonne Volonté (LBV) de Portugal en 2015 complète 26 ans de travail solidaire pour un pays plus heureux. Une référence dans plusieurs secteurs où elle agit, la LBV du pays fut inaugurée le 2 mars 1989, dans la ville de Porto, sous l’initiative de José de Paiva Netto, président de l’Institution. Tous les ans, plus de 60 mille accueils sont orientés vers les familles en situation de vulnérabilité sociale. Elle reçoit, tous les mois, l’appui indispensable de près de 400 bénévoles, étant reconnue comme un centre du bénévolat dans le pays.
Outre la ville de Porto, l’Institution a étendu ses activités d’aide sociale également aux villes de Lisbonne, Coimbra et Braga, et compte sur l’aide d’innombrables entreprises et organisations partenaires, à l’exemple de Liberty Seguros, qui a signalé, dans son magazine officiel, édition nº 31, le sérieux de ce travail : « la Légion de la Bonne Volonté est l’une des institutions qui a le plus fait pour appuyer des familles dépourvues et la communauté des sans abris au Portugal ».
Faites également connaissance d’autres programmes de la LBV du Portugal :
Travail socio-éducatif de la LBV du Portugal
Lisbonne, Portugal — Le programme offre des layettes avec les items nécessaires pour le bébé, tels que vêtements, produits d’hygiène, jouets, entre autres. (Foto: Leilla Tonin)Coimbra, Portugal — Orienté vers le troisième âge, le programme Vive Plus ! stimule le bénévolat sénior, visant à la promotion de la qualité de vie active. (Foto: Leilla Tonin)Coimbra, Portugal — Participante du programme Vive Plus !(Foto: Leilla Tonin)Coimbra, Portugal — Le programme bénéficie par ce volontariat d'autres programmes de la LBV, comme le Citoyen-Bébé, avec la confection de layettes.(Foto: Leilla Tonin)Porto, Portugal — Le programme Des graines de la Bonne Volonté, dédié à l’appui et à l’orientation d’enfants et d’adolescents de 5 à 12 ans, a lieu le week-end et lors des vacances scolaires. Des cours de musique, de « capoeira », d’anglais sont proposés, entre autres activités. (Foto: Leilla Tonin)Porto, Portugal — Le programme Des graines de la Bonne Volonté, dédié à l’appui et à l’orientation d’enfants et d’adolescents de 5 à 12 ans, a lieu le week-end et lors des vacances scolaires. Des cours de musique, de « capoeira », d’anglais sont proposés, entre autres activités.(Foto: Leilla Tonin)Porto, Portugal — Le programme Des graines de la Bonne Volonté, dédié à l’appui et à l’orientation d’enfants et d’adolescents de 5 à 12 ans, a lieu le week-end et lors des vacances scolaires. Des cours de musique, de « capoeira », d’anglais sont proposés, entre autres activités.(Foto: Leilla Tonin)Coimbra, Portugal — Le programme Un sourire heureux développe des campagnes et des conférences éducatives de prévention et offre, par des agents bénévoles, de soins dentaires pour les enfants des communautés de bas revenu.(Foto: Leilla Tonin)Coimbra, Portugal — Le programme offre les lieux des activités éducatives (où les petits apprennent à avoir une hygène buccale correcte).(Foto: Leilla Tonin)Porto, Portugal — Le programme Un sourire heureux développe des campagnes et des conférences éducatives de prévention et offre, par des agents bénévoles, de soins dentaires pour les enfants des communautés de bas revenu.(Foto: Leilla Tonin)Lisbonne, Portugal — Le programme offre des unités mobiles de santé bucco-dentaire.(Foto: Leilla Tonin)Lisbonne, Portugal — Le programme Des graines de la Bonne Volonté,Dédié à l’appui et à l’orientation d’enfants et d’adolescents de 5 à 12 ans, le programme a lieu le week-end et lors des vacances scolaires.(Foto: Leilla Tonin)Lisbonne, Portugal — Enfants participants du programme Des graines de la Bonne Volonté.(Foto: Leilla Tonin)Lisbonne, Portugal — Adolescentes participantes du programme Des graines de la Bonne Volonté.(Foto: Leilla Tonin)Porto, Portugal — La LBV par son programme Un pas en avant soutient les familles en situation de vulnérabilité sociale. L’Institution travaille ainsi sur plusieurs fronts pour garantir les droits des citoyens, lutter contre la faim, assurer les besoins fondamentaux et promouvoir la réinsertion sociale. (Foto: Leilla Tonin)Porto, Portugal — Les professionnels bénévoles du programme Un pas un avant distribuent chaque mois des produits alimentaires aux personnes qui fréquentent l’Institution et organisent régulièrement des ateliers et des conférences sur la santé et l’hygiène, la nutrition et la gestion du budget familial.(Foto: Leilla Tonin)Lisbonne, Portugal — Le programme Ronde de la Charité est réalisé à l’aube des samedis et dimanches, offrant un soin immédiat aux personnes qui se trouvent dans les rues, en situation de misère ou dans des zones reculées des grands centres urbains.(Foto: Leilla Tonin)Lisbonne, Portugal — Ce programme compte avec l'appui bénévole pendant la semaine pour la préparation des repas.(Foto: Leilla Tonin)Lisbonne, Portugal — Les bénévoles de la LBV distribuent de la soupe chaude, du pain, des fruits, des yaourts, des chaussures, des vêtements, des couvertures et une parole amie, de réconfort, aux nécessiteux.
(Foto: Leilla Tonin)
Lisbonne, Portugal — Participantes du programme Citoyen-bébé, qui appuie les femmes enceintes et aux jeunes mamans confrontées à des difficultés financières, à des relations familiale et conjugale instables ou à un traumatisme psychologique.(Foto: Leilla Tonin)
La LBV de Portugal soutient les familles touchées par la crise économique
Récemment, le projet « Être Humain – Être Famille » a été mis en œuvre par l’Institution pour essayer de rapprocher la LBV et les bénéficiaires de ses actions afin de mieux répondre à leurs besoins.
La première réunion a eu lieu avec les représentants des familles qui participent au programme Un Pas en avant qui fournit des conseils sur la santé et le budget familial et distribue des paniers de nourriture à des centaines de personnes en situation de vulnérabilité sociale. Adelaide Salete Silva Ribeiro, 40 ans, est l’une des bénéficiaires du programme et elle a participé à la réunion. Elle a raconté les défis qu’elle a dû affronter ces derniers temps. « Je me suis retrouvée sans travail et je n’avais pas d’argent pour nourrir ma fille, ma nièce et ma sœur, je suis donc allée trouver la LBV. Dans ce pays, les femmes, lorsqu’elles ont des enfants et qu’elles atteignent l’âge de 35, 40 ans, sont très discriminées. » À l’Institution, elle a trouvé le soutien pour aller de l’avant. « C’est très important cette force de la LBV ; j’admire le travail qu’ils font pour les gens. J’espère que beaucoup d’autres en bénéficieront avec ces réunions, comme moi (...) », a-t-elle affirmé.
Apprenez-en plus sur la LBV au Portugal et devenez vous aussi un bénévole ! Si vous préférez, faîtes votre don sur ligne. Accédez : www.lbv.pt | facebook.com/LBVPortugal. Aidez la LBV à aider ceux qui en ont besoin !
LBV participe de rencontre mondiale à l’ONU sur la valorisation de la femme
De la rédaction
11/03/2014 à 12:08, Mardi | Mis à jour le 22/09 à 16:57
UN Women/Ryan Brown
Sur le thème « Les défis et les réalisations dans la mise en œuvre des Objectifs du millénaire pour le développement pour les femmes et les filles », la 58e session des Nations Unies de la Commission de la condition de la femme (CSW 58) a réuni, au siège de l’ONU à New York, des délégations internationales, des institutions des Nations Unies et des organisations de la société civile pour débattre ce sujet tellement important, entre le 10 et le 21 mars 2014.
Cette édition de l’évènement a eu pour objectif évaluer l’accès et la participation des femmes et des filles à l’éducation, aux formations, à la science et la technologie y compris la promotion de l’égal accès des femmes au plein emploi et à un travail décent. Sur ce sujet, la directrice exécutive adjointe d’ONU Femmes, Lakshmi Puri, dans une interview exclusive accordée au magazine BONNE VOLONTÉ Femme, analyse : « les filles sont toujours plus susceptibles d’être non scolarisées que les garçons. En outre, les femmes sont majoritairement présentes dans les emplois informels et précaires et l’écart entre les sexes dans l’emploi persiste avec une différence de 24,8 points entre les hommes et les femmes dans le ratio emploi-population ».
La Légion de la Bonne Volonté (LBV), qui participe annuellement de l’évènement, a partagé ses bonnes pratiques, en soutenant que la priorité à l’éducation et à la rééducation devient la stratégie la plus efficace pour prévenir et combattre toutes les formes de violence à l’égard des femmes et des filles. Pour cette édition, l’Institution a présenté ses propositions socio-éducatives qui contribuent à l’élimination de ces tristes données, par l’intermédiaire du magazine BONNE VOLONTÉ Femme (édité en anglais, espagnol, français et portugais). La publication met en évidence l’analyse fraternelle du président de la LBV, le journaliste, homme de la radio et écrivain José de Paiva Netto, sur l’expérience de l’Institution d’allier à l’application des droits humains, les valeurs de la Citoyenneté Œcuménique, pour la construction d’une société plus juste et solidaire. Voyez comment la LBV garantit les droits des femmes.
Sur l’innovation de la LBV dans Éducation avec valeurs, Mme. Lakshmi Puria a souligné : « Nous considérons que l’accent que met la LBV sur l’éducation est une stratégie-clé de prévention, fondamentale pour provoquer un changement de mentalité et pour transformer la culture du machisme et de l’inégalité. Par conséquent, nous vous applaudissons pour l’avoir choisie comme stratégie. »
CSW 58 : Voyez les photos
NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mme Shlair Hameed (à dr.), ministre plénipotentiaire de la Mission permanente de l’Iraq auprès de la Ligue des États arabes, connaît le travail de la Légion de la Bonne Volonté en faveur des milliers de familles à bas revenus.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Gabriela Marinho (à g.), de la LBV, dialogue avec la deuxième secrétaire de la Mission permanente du Timor-Leste auprès des Nations Unies, Elisa Mesquita, et lui remet le magazine BONNE VOLONTÉ Femme en portugais. (Foto: Eliana Gonçalves)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mme Lourdes Bandeira (à g.), vice-ministre du Secrétariat des Politiques des Femmes de la Présidence de la République du Brésil, reçoit les recommandations de la LBV de la représentante de l’Institution dans l’évènement Conceição Albuquerque. À l’occasion, sympathique, la vice-ministre a reconnu le travail de la Légion de la Bonne Volonté et ses contributions au thème de cet important évènement des Nations Unies.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Conceição Albuquerque (à dr.), de la LBV, dialogue avec les représentantes de la délégation de la Libye présente à la conférence, en montrant le message de l’Institution spécialement acheminée à la 58e session de la Commission de la condition de la femme.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Membres de l'Alliance des Femmes autochtones d'Amérique reçoivent le magazine BONNE VOLONTÉ Femme pendant l’évènement.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Rédactrice en chef adjointe du journal britanique The Guardian, Liz Ford (à g.), reçoit le magazine BONNE VOLONTÉ Femme en anglais de Veronica Anta, de la LBV.(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Yrene Santana (à g.), de la LBV, remet le magazine BONNE VOLONTÉ Femme aux intégrantes de la délégation du Kenya : Agnes Leina (au centre) et Grace Mbugua (à dr.).(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La délégation d’Angola reçoit le message de la LBV dans la conférence (de gauche à droite) : Mme Maria M'Pava Medina, diretrice nationale pour les droits de la femme du Ministère des affaires familiales et de la promotion de la femme ; la psychologue Maria da Luz do Rosário Cirilo de Sá Magalhães, secrétaire d'État à l'Assistance Sociale du Ministère de l'Assistance et Réinsertion Sociale ; Assetou Koite, secrétaire générale de l’Organisation Panafricaine des Femmes (OPF) ; et Filomena Delgado, ministre de la Famille et Promotion de la Femme.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV dans l’évènement Gabriela Marinho (à g.) remet le magazine BONNE VOLONTÉ Femme en espagnol à Patricia Cortez, de la Mission permanente du Pérou auprès des Nations Unies.(Foto: Eliana Gonçalves)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — L’ambassadrice Alya Ahmed Saif Al-Thani (à g.), de la Mission permanente du Qatar auprès de l'ONU, reçoit le message de la LBV de la représentante de l’Institution dans l’évènement Eliana Gonçalves.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — L’ambassadeur Antonio Patriota, représentant permanent du Brésil auprès des Nations Unies, tient dans ses mains le magazine BONNE VOLONTÉ Femme, en portugais, qu’il a reçu pendant la 58e session de la Commission de la condition de la femme.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV dans la commission, Conceição Albuquerque, présente les recommandations de l’Institution à l’ambassadeur Abdou Salam Diallo (au centre), représentant permanent du Sénégal auprès de l’ONU, et aux membres du Comité pour l'exercice des droits inaliénables du peuple palestinien.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Participante lit la Déclaration de la LBV à la 58e session de la Commission de la condition de la femme, publiée au magazine BONNE VOLONTÉ Femme.(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La directrice principale de la recheche chez Microsoft Research, Rane Johnson-Stempson (à g.), reçoit de Yrene Santana, de la LBV, la publication spéciale de l’Institution.(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Conceição Albuquerque (à dr.), représentante de la LBV dans la commission, présente les recommandations de l’Institution à Mme Cristina Carrion, ministre de la Mission permanente de l’Uruguay auprès des Nations Unies.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La vice-ministre de l’égalité et de la non-discrimination du Ministère des femmes, du Paraguay, Claudia García (à dr.), reçoit le message de la LBV de la représentante de l’Institution dans l’évènement Mariana Malaman.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mariana Malaman (à dr.), représentante de la LBV dans l’évènement, remet la publication spéciale de l’Institution à la directrice de la coopération multilatérale, horizontale et financière du Ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération de l’Espagne, Laura López de Cerain Salsamendi.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Pendant l’évènement, ont aussi connu le travail de la Légion de la Bonne Volonté les conférenciers, de gauche à droite : Bayarsaikhan Enkhchimeg, secrétaire d’État du Ministère du développement et de la protection sociale de Mongolie ; Urmas Paet, ministre des Affaires étrangères de l’Estonie ; et Eva-Maria Liimets, directrice de la division des organisations internationales du Ministère des Affaires étrangères de l’Estonie.(Foto: Yrene Santana)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La directrice nationale de Instituto Nacional de las Mujeres du Ministère du Développement social de l’Uruguay, Beatriz Ramírez Abella (à g.), reçoit les recommandations de la LBV de la représentante de l’Institution dans la commission, Conceição Albuquerque.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Eliana Gonçalves (à dr.), représentante de la LBV dans l’évènement, remet le magazine BONNE VOLONTÉ Femme à Mme Jacquelyne Weatherspoon, fondatrice et CEO de l’ONG Decisions in Democracy International.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La coordinatrice du projet des droits des femmes du Programme d’appui aux réseaux de femmes de l’Association pour le progrès des communications, Jac sm Kee (à g.), dialogue avec Yrene Santana, de la LBV, et reçoit les recommandations de l’Institution, en anglais.(Foto: Adriana Parmegiani)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — L’analyste de recherches du rapport "Freedom on the Net", de Freedom House, Madeline Earp (à dr.), reçoit les recommandations de la Légion de la Bonne Volonté pour l’évènement.(Foto: Yrene Santana)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Eliana Gonçalves (à g.), de la LBV, présente les recommandations de l’Institution au médecin, professeur et directrice du Centre cardiologique de l’Hôpital Mount Sinai, à New York, Dr Icilma Fergus.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La responsable des affaires publiques de Linked In, Carolina Velasco (à g.), reçoit le magazine BONNE VOLONTÉ Femme de la représentante de la LBV dans l’évènement, Eliana Gonçalves.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La directrice associée du Département du Ministère de la Femme du siège mondial de l'Église Adventiste du Septième Jour, Raquel Arrais (à g.), a aussi connu le travail de la LBV par l’intermédiaire du magazine BONNE VOLONTÉ Femme pendant la conférence.(Foto: Yrene Santana)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La princesse Mary de Danemark (à g.), membre du groupe de travail de haut niveau pour la Conférence Internationale sur la Population et le Développement (CIPD), a aussi connu le travail de la Légion de la Bonne Volonté pendant la Commission par l’intermédiaire du magazine BONNE VOLONTÉ Femme.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mme Lakshmi Puri (à g.), directrice exécutive adjointe d’ONU Femmes, Bureau d’appui intergouvernemental et des partenariats stratégiques des Nations Unies, a reçu sympathiquement le magazine BONNE VOLONTÉ Femme et a aussi remercié l’opportunité de présenter la vision de cette entité de l’ONU à tous les participants par l’intermédiaire de la publication de la LBV. La revue présente une interview exclusive qui signale les progrès et les défis pour atteindre l’égalité des sexes et l’autonomie économique des femmes.(Foto: Yrene Santana)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — L’administrateur du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), Helen Clark (à dr.), reçoit les recommandations de la LBV des mains de Adriana Rocha, représentante de l’Institution dans l’évènement.(Foto: Yrene Santana)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV dans l’évènement, Sâmara Malaman, présente les recommandations de l’Institution à Mme. Kate Gilmore, la directrice exécutive adjointe du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA).(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le directeur général adjoint du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), M. Omar Abdi, a reçu les bonnes pratiques de la Légion de la Bonne Volonté des mains de la représentante de l’Organisation dans l’évènement, Sâmara Malaman.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — A aussi reçu le message de la Légion de la Bonne Volonté pendant la conférence des Nations Unies, la directrice du Bureau de liaison de l'UNESCO à New York, Vibeke Jensen (à g.).(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV dans l’évènement, Sâmara Malaman (à dr.), remet le magazine BONNE VOLONTÉ Femme à Mme Susan Hopgood, présidente de l'Internationale de l'Éducation (Education International), la plus grande fédération syndicale mondiale d'enseignants et d'employés de l'éducation.(Foto: Adriana Parmegiani)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mme Nora Fyles, chef de l’Initiative des Nations Unies pour l’Éducation des Filles (UNGEI), partenaire de l’UNICEF, a aussi reçu le message de la LBV pendant la conférence.(Foto: Adriana Parmegiani)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le magazine BONNE VOLONTÉ Femme, disponibilisé en plusieurs langues, met en évidence l’article du président de la LBV, le journaliste, homme de la radio et écrivain José de Paiva Netto, qui s’intitule « Solidarité et droits de l’homme » et aborde la raison pour laquelle nous ne devons pas faiblir dans la lutte pour l'éradication des inégalités sociales et de genre dans le monde.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Pendant la conférence, la conseillère brésilienne sur le plan de l’égalité des sexes, Mme Silvia Souza, a reçu la publication de la Légion de la Bonne Volonté en portugais.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La représentante de la LBV dans l’évènement, Adriana Rocha (à dr.), remet les recommandations de la Légion de la Bonne Volonté, en version anglaise, à la secrétaire générale adjointe des Nations Unies et directrice éxecutive d’ONU Femmes, Mme. Phumzile Mlambo-Ngcuka.(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La directrice générale de l'UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture), Mme Irina Bokova (à g.), reçoit les recommandations de la LBV. À son côté, la représentante de l’Institution dans l’évènement Adriana Rocha avec le magazine BONNE VOLONTÉ Femme en anglais.
(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le mardi 11, le secrétaire général des Nations Unies, Ban ki-moon, a reçu les compliments des représentants de la Légion de la Bonne Volonté qui lui ont remis le magazine BONNE VOLONTÉ Femme (en anglais). Attentif, il a remercié la publication qui contribue au thème de cette conferénce. Sur la photo, M. Ban ki-moon fait un discours lors de l’ouverture de l’évènement, qui a eu lieu le lundi, 10. À son côté se trouvent l’ambassadeur Libran N. Cabactulan (au centre), président de la CSW 58 et représentant permanent des Philippines auprès des Nations Unies, et Tegegnework Gettu (à dr.), secrétaire général adjoint chargé du Département de l’Assemblée générale et de la gestion des conférences. (Foto: UN Photo/Paulo Filgueiras)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La ministre française des droits des femmes et porte-parole du Gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem (à dr.), reçoit la publication spéciale de la LBV. À son côté, la représentante de la LBV dans l’évènement, Sandra Fernandez, avec le magazine BONNE VOLONTÉ Femme, en anglais.(Foto: Eliana Gonçalves)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le représentant de la LBV auprès des Nations Unies, Danilo Parmegiani, remet les recommandations de l’Institution à la sénatrice du Nigeria, Aisha Alhassan.(Foto: Eliana Gonçalves)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — M. Abu Kamara, ministre conseiller de la Mission Permanente de la République du Liberia auprès des Nations Unies, reçoit les recommandations de la LBV des mains de la jeune Eliana Gonçalves, de l’Institution.(Foto: Sandra Fernandez)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Mme Akumaa Mama Zimbi, fondatrice de Mama Zimbi Foundation (MZF) et leader des droits des femmes au Ghana, dialogue avec les représentantes de la LBV dans l’évènement Eliana Gonçalves (à g.) et Gabriela Marinho (à dr.).(Foto: Danilo Parmegiani)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La jeune Eliana Gonçalves, représentante de la LBV dans l’évènement, dialogue avec la Mme Julia Duncan-Cassell (à dr.), ministre chargée du genre et du développement au Libéria, et lui remet la publication spéciale de l’Institution en anglais. (Foto: Sandra Fernandez)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Public présent à l’évènement qui évalue, entre le 10 et 21 mars, les progrès et les défis pour atteindre les huit Objectifs du Millénaire pour le développement pour les femmes et filles.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — M. Ufuk Gokcen, ambassadeur et représentant permanent de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) des Nations Unies, reçoit de la représentante de la LBV dans la rencontre Eliana Gonçalves le magazine BONNE VOLONTÉ Femme.(Foto: Sandra Fernandez)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le représentant de la LBV auprès des Nations Unies dialogue avec Mme. Rabiha Diab (au centre), ministre des affaires de la femme de l'Autorité palestinienne et avec l’ambassadrice Somaia Barghouti, conseillère et observatrice permanente de la Mission de la Palestine auprès de l’ONU.(Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La secrétaire principale des affaires sociales de la République des Seychelles, Linda William-Melanie, a aussi reçu la publication spéciale de la LBV, en anglais, pendant la CSW 58.(Foto: Eliana Gonçalves)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Participant lit la publication spéciale de la Légion de la Bonne Volonté, qui est amplement divulguée dans la conférence.(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Des participants de la CSW 58 reçoivent le magazine BONNE VOLONTÉ Femme, en plusieurs langues. La publication présente particulièrement une contribution fraternelle du dirigeant de la LBV, José de Paiva Netto, à partir de l’expérience de l’Institution d’allier à la mise en oeuvre des droits de l’homme les valeurs de la Citoyenneté Oecuménique, pour la construction d’une société plus juste et solidaire.(Foto: Veronica Anta)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Le représentant de la Légion de la Bonne Volonté auprès des Nations Unies, Danilo Parmegiani, a accordé une interview à la radio de l’ONU en portugais. À l’occasion, il a remarqué les bonnes pratiques de l’Institution sur le plan social et éducatif en faveur des familles et des femmes en situation de vulnérabilité sociale.(Foto: Yrene Santana)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La conseillère de politiques en matière de genre et de coopération de développement, de l’ambassade du Royaume des Pays Bas au Ghana, Elsie Appau, et le directeur exécutif du Centre de Défense des droits de l'homme (HRAC), au Ghana, Robert Amoafo, présentent le magazine BONNE VOLONTÉ Femme en anglais qu’ils ont reçu de la Légion de la Bonne Volonté. (Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Un participant de l’évènement regarde le magazine BONNE VOLONTÉ Femme, en anglais. La publication est composée par les histoires de réussite, les programmes et les actions de la LBV, en contribuant pour atteindre les objeticfs accordés et surtout pour la mise en oeuvre du programme de développement pour l’après-2015. (Foto: Gabriela Marinho)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Les représentants de la LBV dans l’évènement fraternisent avec Renato Ramalho (à dr.) et Lucas Valente (à g.), de l’ONG Engajamundo, qui travaille pour la promotion de l’action des jeunes à la résolution des défis contemporains.(Foto: Veronica Anta)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Les gymnastes olympiques Julie Hansson et Katherine Hansson, de Norvège, participent de la conférence sur la femme et connaissent le travail de la Légion de la Bonne Volonté. (Foto: Sandra Fernandez)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — La Légion de la Bonne Volonté disponibilise aux participants de la conférence une publication spéciale éditée en portugais et traduite vers les trois langues officielles des Nations Unies : anglais, espanol et français.(Foto: Adriana Parmegiani)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Vue partielle du public pendant le discours du secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, pendant l’ouverture de la CSW 58. L’édition de cette année a pour objectif évaluer l’accès et la participation des femmes et des filles à l’éducation, aux formations, à la science et la technologie y compris la promotion de l’égal accès des femmes au plein emploi et à un travail décent.(Foto: Sâmara Malaman)NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Pour l’évènement, la LBV présente ses recommandations par l’intermédiaire de la revue « BONNE VOLONTÉ Femme », publiée en espagnol, français, anglais et portugais.NEW YORK, ÉTATS-UNIS — L’équipe de la Légion de la Bonne Volonté qui participe de la CSW 58, de gauche à droite : Danilo Parmegiani, Adriana Rocha, Gabriela Marinho, Sâmara Malaman, Eliana Gonçalves et Yrene Santana.
NEW YORK, ÉTATS-UNIS — Eliana Gonçalves (à g.), de la LBV, présente les recommandations de l’Institution à la délégation de la Syrie présente dans l’évènement. Sur la photo, Mme Assaf Nahla Issa (au centre) et Mme Insaf Hamad, chef de la Commission syrienne des affaires familiales.(Foto: Gabriela Marinho)
LA COMMISSION
La première année de l’ONU, en 1946, le Conseil économique et social (ECOSOC) a établi une Commission de la condition de la femme (CSW, en anglais), comme le principal organisme de décision politique qui se dédie à l’égalité des genres et au développement des femmes. L’une de ses premières réalisations a été d’assurer la neutralité en matière de genre dans le projet de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Par l’intermédiaire de tables rondes et de conférences, CSW établit des objectifs globaux et formule des politiques de valorisation de la femme.
Réaffirmant la Déclaration et le Programme d’action de Beijing (Chine) en 1995, et en ratifiant la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, en 1979, la Commission a convoqué les gouvernements, le système ONU, les institutions internationales et régionales, les organisations non-gouvernementales, la société civile, le secteur privé, à ce compromis coopératif.