Da redação

Les droits des femmes à l’ordre du jour

De la rédaction

16/03/2016 à 10:58, Mercredi | Mis à jour le 22/09 à 17:04

Rick Bajornas/UN Photo

Antonio Patriota, ambassadeur du Brésil et président de la 60e session de la Commission de la condition de la Femme de l’ONU.

Depuis la création de la Commission de la condition de la Femme (CSW) en 1946, c’est la première fois qu’un représentant permanent du Brésil auprès des Nations Unies assume sa coordination. Élu à la présidence de la 60e session de la CSW, l’ambassadeur Antonio de Aguiar Patriota sait qui commande l’une des éditions les plus importantes de cette conférence. En effet, ce comité porte l’espoir de promouvoir les efforts pour qu’un jour l’égalité entre les sexes soit incluse dans tous les débats et les actions mondiales du Programme de développement durable à l’horizon 2030, aussi appelé Agenda 2030.

À quelques jours de cette réunion, qui aura lieu du 14 au 24 mars à New York, aux États-Unis, le diplomate a parlé dans une interview exclusive à la revue BONNE VOLONTÉ Femme de la création d’un segment ministériel  de la CSW, qui, pour lui, « permettra d’augmenter sa visibilité et de renforcer l’engagement politique des pays à haut niveau pour l’égalité entre les sexes ». Toujours selon le représentant du Brésil, cet engagement contribuera à l’autonomisation des femmes et donc à promouvoir la Paix et l’amélioration de la qualité de vie de toute la population planétaire.

BONNE VOLONTÉ Femme — Monsieur l’Ambassadeur, que signifie pour la mission du Brésil auprès des Nations Unies le choix de votre nom pour présider cette session historique de la CSW ? Quelle influence le pays peut-il apporter à cette rencontre ?

Antonio Patriota — C’est un honneur d’exercer la présidence de la CSW. Je suis sûr que mon élection a été le résultat du profil haut que le Brésil a adopté dans la défense des droits des femmes sur le plan international et national. Le Brésil apportera à la CSW son expérience dans la promotion des droits des femmes et un engagement fort vis-à-vis de l’égalité des sexes, l’autonomisation des femmes et la mise en œuvre du Programme d’Action de Beijing.

Giuliano Gomes/Seed

Au Brésil, les femmes sont plus scolarisées que les hommes et sont moins en retard scolaire par rapport à eux. 

BV — Comment voyez-vous la présidence de la CSW au moment où les Nations Unies s’organisent autour des Objectifs de développement durable (ODD), qui découlent de la Conférence Rio+20, pour laquelle vous avez été également en charge de la coordination ?

Patriota — La CSW60 aura un rôle-clé pour suivre et veiller aux engagements pris dans l’Agenda 2030 pour le développement durable en ce qui concerne l’Objectif 5 («Parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles ») et les autres objectifs. Le Brésil tient beaucoup à cet agenda, compte tenu du rôle de Rio+20, qui a établi une feuille de route pour l’adoption de ce dernier. L’Agenda 2030 constitue la base sur laquelle les gouvernements, la société civile, le secteur privé et le Système des Nations Unies orienteront leurs politiques et actions pour le développement durable pour les quinze prochaines années.

BV — En 2016, ce sera aussi la première fois que la session de l’ONU comportera un segment ministériel. Quels seront les changements avec cette nouvelle structure ?

Patriota — Les trois premiers jours de la prochaine session de la CSW seront consacrés au segment ministériel. Cela permettra d’accroître sa visibilité et de renforcer l’engagement politique des pays à haut niveau pour l’égalité entre les sexes. Dans le cadre du segment ministériel, il y aura un exercice de révision des conclusions de la 57e session, [réalisée] en 2013, sur l’élimination et la prévention de toutes les formes de violence contre les femmes et les filles. Les États membres de l’ONU pourront faire des exposés sur les principaux progrès obtenus dans la lutte contre la violence de genre et échanger sur les leçons à en tirer et sur les autres bonnes pratiques.

Harry Had

En reconnaissance de l’énorme potentiel pour la démocratie et pour la paix que les femmes représentent, trois femmes de premier plan ont reçu le Prix Nobel de la Paix en 2011. De gauche à droite, l’activiste yéménite Tawakkol Karman, la militante libérienne Leymah Gbowee et la présidente du Liberia, Ellen Johnson Sirleaf.

BV — Les ODD se rapportent à la recherche de la pluralité, quelle soit de genre, ou d’accès. L’autonomisation des femmes gagne-t-elle une plus grande force dans ce nouvel agenda mondial ?

Patriota — Très certainement. L’Agenda 2030 est basé sur la compréhension que l’on ne pourra pas parvenir à un développement durable si la moitié de l’humanité ne peut pas bénéficier des droits de l’homme dans toute leur plénitude. La réalisation de l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes sont des contributions essentielles à la progression de tous les objectifs du Programme de développement durable, dont les trois piliers sont économique, social et environnemental. L’égalité entre les sexes bénéficie à la société dans son ensemble et elle doit être encouragée à l’échelle mondiale.

BV — Au cours des dernières années, quels ont été les progrès les plus significatifs pour que cela se produise ?

Patriota — Au Brésil, il y a eu des avancées significatives en matière de législation, de politiques publiques et d’actions visant à promouvoir les droits des femmes. La Loi sur le Féminicide a transformé en crime n’admettant aucune libération sous caution l’assassinat de femmes pour des motifs sexistes. Elles sont également devenues les protagonistes des politiques d’inclusion sociale et les principales bénéficiaires des politiques des revenus. Une autre donnée à relever est qu’actuellement les Brésiliennes sont plus scolarisées que les hommes et qu’elles avancent sur le marché du travail. Dans aucun pays dans le monde, cependant, l’égalité entre les sexes n’a été atteinte. Le défi est la pleine réalisation de la parité des sexes et l’autonomisation des femmes d’ici 2030, comme le détermine le cinquième Objectif du développement durable.

BV — Au Brésil, outre les lois sur la question des femmes, en particulier la loi Maria da Penha, la mise en œuvre de nouvelles politiques publiques est-elle un moyen vu par le pays pour la promotion de l’égalité entre les sexes ?

César Ogata/Secom

Unité mobile du programme Femme, Vivre sans violence. Le véhicule consiste en un bus adapté pour réaliser des accueils d’urgence et de prévention s’adressant au public des femmes victimes de violence et compte une équipe multidisciplinaire formée pour l’écoute des dénonciations.

Patriota — La transversalité d’une perspective de genre dans les politiques publiques est cruciale pour parvenir à l’égalité entre les sexes, non seulement au Brésil mais aussi dans le reste du monde. Un bon exemple est le programme Mulher, Viver sem Violência « Femme, Vivre sans violence » [coordonné par le Secrétariat sur les politiques de la femme de la Présidence de la République du Brésil], qui vise à mettre en œuvre, de fait, la loi Maria da Penha. Les [unités] de la Maison de la Femme Brésilienne font partie de ce programme et offrent des services d’accueil aux femmes vivant une situation de violence. Avec une approche multidimensionnelle, ces unités offrent des services d’orientation pour le travail et les revenus, de promotion de l’entreprenariat, de la formation professionnelle et de l’insertion sur le marché de l’emploi. Un autre exemple de politique visant l’égalité entre les sexes a été la promulgation de la Proposition d’Amendement à la Constitution des employées de maison, qui a favorisé l’inclusion définitive de cette catégorie professionnelle dans le système de protection sociale, bénéficiant ainsi directement plus de six millions de Brésiliennes.

BV — Comment voyez-vous la participation des hommes dans la campagne #HeForShe d’ONU Femmes ?

Patriota — La participation des hommes dans la lutte pour l’égalité entre les sexes est absolument fondamentale parce que la société comme un tout doit se mobiliser pour mettre un terme à l’inégalité et à la discrimination dans ce domaine. Il faut faire prendre conscience aux hommes des inégalités et des injustices qui touchent les femmes. La présidente Dilma Rousseff soutient la campagne qui vise à amener les hommes au centre du débat sur l’égalité entre les sexes. Je profite de cette occasion pour inviter tous les lecteurs à se joindre à cette campagne. Tous les collaborateurs de sexe masculin de la Mission du Brésil auprès de l’ONU s’y sont déjà associés à travers le site www.heforshe.org.

Divulgação

Égalité entre les sexes — Les hommes diplomates de la Mission du Brésil auprès des Nations Unies soutiennent la cause et ont adhéré à la campagne de #HeForShe d’ONU Femmes. Selon l’ambassadeur Antonio de Aguiar Patriota (au centre, assis), « les concepts normatifs de masculinité et de féminité renforcent les relations de pouvoir verticales et inégales ». Le diplomate considère qu’il est « révolutionnaire d’engager les hommes et les garçons dans la discussion sur l’élimination des inégalités entre les sexes. »

BV — Les ODD doivent affecter le débat et la distribution des ressources. Peuvent-ils constituer un agent important de la coopération économique au cours des prochaines années ?

Patriota — On s’attend à ce que les Objectifs de développement durable, par leur caractère universel, c’est-à- dire, du fait qu’ils appliquent aux pays développés et aux pays en développement, galvanisent la coopération internationale. La CSW60 traitera justement de la nécessité d’augmenter les investissements dans l’égalité entre les sexes, en incluant la mobilisation des ressources nationales et en priorisant les actions en faveur de l’autonomisation des femmes et de l’augmentation de l’aide officielle au développement.

BV — Durant votre mandat à la tête de la Commission de consolidation de la paix de l’ONU, vous avez défendu, au nom du Brésil, l’égalité entre les sexes. L’autonomisation des femmes est-elle fondamentale pour la paix ?

Patriota — Oui. Il existe diverses études et des statistiques officielles qui illustrent l’effet transformateur de l’autonomisation des femmes pour le progrès social, la croissance économique et le développement dans les situations de post-conflit. La Commission de Consolidation de la Paix concentre son attention dans les pays dont les institutions et l’économie sont fragiles, parmi lesquels le Libéria, la Guinée-Bissau et le Burundi. J’ai pu vérifier personnellement en Guinée-Bissau combien les femmes représentent une partie pacificatrice de la population, parce qu’elles concentrent leurs aspirations dans la construction de sociétés justes avec un niveau de vie plus élevé pour les générations futures. 

Français

Nations Unies : la LBV participe de la Commission sur les droits de la femme dans l’Agenda 2030

De la rédaction

14/03/2016 à 16:35, Lundi | Mis à jour le 22/09 à 16:57

Sur le thème « L’autonomisation des femmes et son lien avec le développement durable », la 60e session de la Commission de la condition de la femme (CSW60) réunit, au siège de l’ONU à New York, des délégations internationales, des institutions des Nations Unies et des organisations de la société civile pour débattre ce sujet tellement important, entre le 14 et le 24 mars 2016.


Sur ce sujet, l’ambassadeur Antonio Patriota, dans une interview exclusive accordée au magazine BONNE VOLONTÉ, souligne l’importance des femmes dans la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030 : « L’Agenda 2030 est basé sur la compréhension que l’on ne pourra pas parvenir à un développement durable si la moitié de l’humanité ne peut pas bénéficier des droits de l’homme dans toute leur plénitude. » Toujours selon le représentant du Brésil, cet engagement contribuera à l’autonomisation des femmes et donc à promouvoir la Paix et l’amélioration de la qualité de vie de toute la population planétaire. 

La Légion de la Bonne Volonté (LBV), qui participe annuellement de l’évènement, a partagé ses bonnes pratiques, en soutenant que la priorité à l’éducation et à la rééducation devient la stratégie la plus efficace pour aider les femmes et les filles dans une situation de pauvreté. Pour cette édition, l’Institution a présenté ses propositions socio-éducatives par l’intermédiaire du magazine BONNE VOLONTÉ Femme (édité en anglais, espagnol, français et portugais).

Revue BONNE VOLONTÉ Femme  La Légion de la Bonne Volonté présente ses bonnes pratiques sociales aux participantes de l’événement par une publication spéciale disponible en portugais et dans les trois langues officielles des Nations Unies : anglais, espagnol et français.

La publication met en évidence l’analyse fraternelle du président de la LBV, le journaliste, homme de la radio et écrivain José de Paiva Netto, qui défend dans l’article « Charité et stratégie » : « La Charité n’est pas un sentiment pour les sots. C’est une stratégie de Dieu qui établit dans les cœurs les conditions idéales pour travailler, gouverner, entreprendre, administrer, prêcher, exercer la Science, élaborer la Philosophie et vivre la Religion avec un esprit de Générosité. (...) La Charité alliée à la Justice est le combustible des transformations profondes. Son action est subtile mais efficace. »

LA COMMISSION

La première année de l’ONU, en 1946, le Conseil économique et social (ECOSOC) a établi une Commission de la condition de la femme (CSW, en anglais), comme le principal organisme de décision politique qui se dédie à l’égalité des genres et au développement des femmes. L’une de ses premières réalisations a été d’assurer la neutralité en matière de genre dans le projet de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Par l’intermédiaire de tables rondes et de conférences, CSW établit des objectifs globaux et formule des politiques de valorisation de la femme.

Réaffirmant la Déclaration et le Programme d’action de Beijing (Chine) en 1995, et en ratifiant la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, en 1979, la Commission a convoqué les gouvernements, le système ONU, les institutions internationales et régionales, les organisations non-gouvernementales, la société civile, le secteur privé, à ce compromis coopératif.

Français

BONNE VOLONTÉ Femme et le rôle des femmes dans le développement durable

De la rédaction

14/03/2016 à 13:41, Lundi | Mis à jour le 17/10 à 10:24

La garantie de l’accomplissement des droits des femmes a toujours été parmi les buts principaux du travail de l’Organisation des Nations Unies (ONU). Cette année, avec la mise en œuvre des objectifs de développement durable (ODD), ce but gagne en évidence. C’est ce qui devrait se produire lors de la 60e session de la Commission de la condition de la femme, qui a lieu du 14 au 24 mars, et discute le thème « L’autonomisation des femmes et son lien avec le développement durable ». Afin de contribuer au débat, la Légion de la Bonne Volonté (LBV) apporte à l’événement ses recommandations et bonnes pratiques au moyen de la revue BONNE VOLONTÉ Femme 2016 (disponible en anglais, espagnol, français et portugais).

Revue BONNE VOLONTÉ Femme 2016

La publication présente l’article « Charité et stratégie » du président de la LBV, le journaliste, homme de radio et écrivain José de Paiva Netto. Dans ce texte, il déclare : « La Charité alliée à la Justice est le combustible des transformations profondes. Son action est subtile mais efficace. »

Il faut aussi mentionner l’interview exclusive accordée par l’Ambassadeur Antonio de Aguiar Patriota, qui présidera cette session de la commission. À cette occasion, le représentant du Brésil à l’ONU a parlé de l’importance de la participation des femmes dans les engagements de l’ONU dans les années à venir. « L’Agenda 2030 est basé sur la compréhension que l’on ne pourra pas parvenir à un développement durable si la moitié de l’humanité ne peut pas bénéficier des droits de l’homme dans toute leur plénitude », a-t-il souligné.

En ce qui concerne les actions de la LBV, l’édition rapporte des histoires émouvantes de femmes qui ont eu la force et la persévérance de surmonter les défis, en comptant toujours avec le soutien de l’Institution.

Les exemplaires du magazine peuvent être obtenus à travers l’application gratuite de la BONNE VOLONTÉ (BOA VONTADE magazine) pour iOS et Android. 

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Connaissez les 27 ans de travail de la LBV du Portugal

De la rédaction

29/02/2016 à 9:52, Lundi | Mis à jour le 17/10 à 10:24

Selon les statistiques officielles, depuis 2008, le nombre de personnes en situation de misère et de vulnérabilité sociale a agrandi à cause principalement de la crise économique et de l’augmentation du taux de chômage au Portugal.  Une personne  sur quatre vit en situation de « privation matérielle sévère » sans pouvoir faire un repas avec de la viande ou du poisson, au moins à chaque deux jours.

Attentive à ces problèmes, la Légion de la Bonne Volonté (LBV) du pays travaille sur plusieurs fronts pour garantir les droits des citoyens, lutter contre la faim, assurer les besoins fondamentaux et promouvoir la réinsertion sociale. Les professionnels bénévoles distribuent chaque mois des produits alimentaires aux personnes qui fréquentent l’Institution et organisent régulièrement des ateliers et des conférences sur la santé et l’hygiène, la nutrition et la gestion du budget familial.

Faites connaissance d’autres programmes de la LBV du Portugal :

+ Faire un don pour aider la LBV du Portugal !

+ Connaître le travail de la LBV dans le monde !

Outre ses programmes, l’Institution réalise les campagnes Noël Permanent de la LBV – Jésus, notre Pain de chaque jour ! et Le Sport est Vie !. Apprenez-en plus sur la LBV du Portugal et devenez vous aussi un bénévole ! Si vous préférez, faîtes votre don sur ligne. Accédez : www.lbv.pt. Aidez la LBV à aider ceux qui en ont besoin !

Collaboration : Eduarda Pereira

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La LBV contribue au débat sur la crise migratoire à l’ONU

De la rédaction

20/02/2016 à 14:20, Samedi | Mis à jour le 22/09 à 17:04

Les participants du panel suivent attentivement la contribution de la LBV sur le thème représentant l’Amérique latine.

Le 11 février la Légion de la Bonne Volonté (LBV) a co-organisé un panel thématique sur « Éducation pour l’inclusion durable des populations déplacées » avec NGO Committee on Education, dans le cadre du programme officiel de la cinquante-quatrième session de la Commission du développement social. La Commission a réuni des organisations de tous les continents au siège de l’ONU à New York, du 3 au 12 février pour repenser le développement social dans le monde contemporain.

Le panel était composé de représentants de quatre continents et visait à coopérer avec des pays et des organisations qui s’occupent de grands déplacements de population dans d’autres parties du monde. La LBV a représenté l’Amérique latine en apportant des suggestions novatrices d’initiatives de la société civile qui peuvent être reproduites et utilisées par les différents pays membres de l’ONU pour résoudre un problème mondial qui s’est accru au cours des dernières décennies.

Selon un rapport de l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, plus de 60 millions de personnes sont actuellement déplacées de leurs pays d’origine en raison de crises telles que les guerres, conflits, persécutions et les catastrophes naturelles. Un chiffre record qui dépasse même ceux de la période de la Seconde Guerre mondiale.

La Légion de la Bonne Volonté a été très bien accueillie quand elle a présenté les aspects pratiques de sa proposition pédagogique et de son travail social et humanitaire au Brésil et dans six autres pays. L’originalité de l’approche de la LBV, une éducation basée sur la Spiritualité Œcuménique*, a été reconnue par les participants. À cette occasion, ils ont pu comprendre l’importance de la présence des valeurs spirituelles dans toutes les stratégies de soutien à l’être humain, d’inclusion sociale et d’éducation pour que l’on ait une formation complète des individus.

Danilo Parmegiani, représentant de la Légion de la Bonne Volonté auprès des Nations Unies, présente un extrait de l’ouvrage Il est urgent de rééduquer !, de l’écrivain Paiva Netto, président de l’Institution. Dans ce document, l’auteur élargit le concept d’éducation et présente son expérience pendant des décennies d’associer l’éducation à la Spiritualité Œcuménique, en s’adressant à la fois au citoyen ordinaire et au professionnel de l’enseignement. 

Le panel incluait la participation de John Solecki (modérateur), conseiller politique principal au Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) ; Connor Breza, représentant bénévole de l’International Rescue Committee ; Izabela August, docteur en sociologie, chercheur et analyste de l’interculturalité, la migration et l’éducation intergénérationnelle ; Richard Close, directeur général de Chrysalis, Campaign, Inc. ; Danilo Parmegiani, représentant de la Légion de la Bonne Volonté auprès des Nations Unies ; Reggie Bennett, professeur de musique de la REACH Academy à West Harrison, New York ; et Jean Trudel, co-fondateur de Peace Day 365 et représentant du Wittenberg Center for Alternative Resources.

La Commission

Selon la directrice de la Division des politiques sociales et du développement (DPSD) du Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies (ONU-DAES), Daniela Bas, « la Commission fournit une occasion idéale pour mettre l’accent sur le rôle du développement social comme un élément clé du développement durable et identifier des moyens efficaces de mettre les personnes au cœur du Programme de développement durable à l’horizon 2030 ». 

Danilo Parmegiani

Vue partielle du public présent aux débats de la 54ème session de la Commission des Nations Unies pour le développement social. 

Le Programme de développement durable à l’horizon 2030 est composé de 17 objectifs, les ODD (objectifs de développement durable). « Les travaux de la Commission affectent la vie de 1,2 milliard de jeunes, plus de 900 millions de personnes âgées et d’1 milliard de personnes handicapées à travers le monde, parmi beaucoup d’autres. Son travail est crucial pour garantir que dans les ODD personne ne soit laissé de côté », a affirmé le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon.

+ Voir les photos et d’autres informations de cet événement sur les réseaux sociaux avec le hashtag #CSocD54

On peut souligner que depuis plus de 20 ans, la LBV a travaillé en partenariat avec les Nations Unies. En 1994, elle a rejoint le Département de l’information, et en 1999, elle a été la première organisation de la société civile brésilienne à obtenir le statut consultatif général (plus haut niveau) au sein du Conseil économique et social (ECOSOC). 

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*Spiritualité Œcuménique — Cet étendard de la Légion de la Bonne Volonté est présent dans toutes ses actions socioéducatives, car elle est perçue comme « le berceau des valeurs les plus généreuses qui naissent de l’Âme, la demeure des émotions et du raisonnement éclairé par l’intuition, l’environnement qui englobe tout ce qui transcende le domaine trivial de la matière et vient de la sensibilité humaine sublimée, comme la Vérité, la Justice, la Miséricorde, l’Éthique, l’Honnêteté, la Générosité, l’Amour Fraternel ». Extrait du livre Il est Urgent de Rééduquer !, sur lequel est fondé la ligne éducative de la LBV, écrit par l'éducateur Paiva Netto, auteur de nombreux best-sellers.

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Une alimentation saine et des exercices physiques aident à prévenir le cancer

De la rédaction

03/02/2016 à 9:54, Mercredi | Mis à jour le 22/09 à 16:07

Le cancer est la plus grande cause de mort par maladies dans le monde, d’après les informations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Les données de l’Organisation affirment que près de 30% des cas de cancer sont liés à des facteurs qui peuvent être prévenus.

Quoique le cancer soit associé à une prédisposition génétique, d’autres aspects le font surgir, tels que le tabac, l’alcool, le stress et le sédentarisme. Mais c’est dans l’alimentation que les soins doivent être redoublés. Les mauvaises habitudes alimentaires peuvent entraîner de sérieux problèmes de santé, tels que l’obésité, qui sont déterminants pour le développement de la maladie.

Les conséquences du cancer liées à l’alimentation se trouvent, principalement, dans l’ingestion excessive de corps gras, tels que les acides gras saturés et les acides gras trans. Le premier type est rencontré dans les produits d’origine animale, tels que les viandes rouges et blanches ou dans ses derivés, et leur consommation ne peut dépasser les 20 grammes par jour. Sinon, il provoquera l’augmentation du mauvais cholestérol, qui en se déposant dans les artères augmente le risque de développement de problèmes cardiaques.

Quant aux acides gras trans, ils sont créés par l’intermédiaire d’un processus chimique, l’hydrogénation, par lequel les huiles végétales sont transformées en acides gras trans que l’on trouve dans les produits tels que les frites, les glaces, ou les snacks. Une consommation supérieure à 2 grammes par jour, entraîne la réduction du bon cholestérol et l’augmentation du mauvais cholestérol.

Les autres aliments qui méritent une attention spéciale sont les aliments industrialisés. Ils occupent un espace chaque fois plus grand sur les gondoles des supermarchés, et dans l’office des maisons, en fonction de leur praticité. Ce sont des produits qui viennent préparés ou semi-préparés, et leur long délai de validité rend facile leur stockage. Mais c’est dans la facilité que se trouve le véritable piège de ces aliments. Du fait de contenir plusieurs additifs chimiques, parmi eux les colorants, les substances aromatiques et les conservateurs, leur consommation fréquente est préjudicielle à la santé.

    

La consommation de ces aliments, alliée au manque de nutriments essentiels pour l’organisme, finissent par provoquer un déséquilibre nutritionnel, augmentant ainsi les chances de développement d’un quelconque type de cancer. C’est pourquoi il est recommandé l’ingestion d’aliments riches en vitamine C, tels que les fruits citriques, et en vitamine E, que l’on trouve dans les huiles, les grains ou les noix, par exemple. Les aliments de couleur jaune, comme les courges, les carottes, la papaye et la mangue, constituent le groupe des bêtacarotènes, qui non seulement aident à réduire le risque de cancer, mais aussi les problèmes cardiovasculaires.

Pour les hommes, un aliment qui ne doit jamais manquer aux repas, c’est la tomate. Les recherches démontrent que le lycopène, responsable de la couleur rouge du fruit, réduit les possibilités de cancer de la prostate.

Alors que pour les femmes, la présence de flavonoïdes, retirés du jus naturel de raisin, et des isoflavones, présentes dans le soja, réduisent, dans l'organisme, les chances de cancer du sein, du fait de posséder un filtre d’estrogène.

Prenez soin de votre santé en vous alimentant correctement et en pratiquant des exercices physiques régulièrement. Au moindre symptôme, consultez votre médecin.

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Former des hommes de bien

De la rédaction

03/11/2015 à 22:15, Mardi | Mis à jour le 22/09 à 16:07

Pour Eliana Lannes de Oliveira, femme au foyer, parler de la Légion de la Bonne Volonté lui rappelle toujours de bons souvenirs et provoque chez elle un sentiment de gratitude. Et c’est avec émotion qu’elle et ses enfants Igor Lannes Gregório, Beatriz Lannes Santos et les jumeaux Áliton Lannes de Oliveira et Aguilar Alves Celestino Jr. ont reçu l’équipe de la BONNE VOLONTÉ.

Lucian Fagundes

Photo de famille — De gauche à droite, Igor, Aguilar, Áliton, la mère Eliana et Beatriz. Toute la famille a trouvé dans la LBV le soutien nécessaire pour vivre une pleine citoyenneté.

Les deux enfants plus âgés, Áliton et Aguilar, de 21 ans, ont de bons souvenirs de l’époque où ils participaient aux activités mises en œuvre au Centre Éducationnel de la LBV à la ville de Rio de Janeiro, entre lesquelles la Chorale Œcuménique d’Enfants Bonne Volonté. Élèves de la première classe à conclure l’enseignement élémentaire dans cette école, ils ont eu l’opportunité de chanter pendant une visite du dirigeant de l’Institution sur les lieux. « Nous avons chanté pour notre Frère Paiva la chanson Amis pour toujours [Amigos para sempre, composition brésilienne très connue] ; c’est un jour que je n’oublierai jamais. Il a été ému, et nous aussi, parce qu’il a vu que nous étions bien soignés et heureux là-bas », se souvient Aguilar, qui est actuellement soldat de la Force Aérienne Brésilienne.

La manifestation d’affection du président de la LBV a marqué les cœurs de ces petits garçons et demeure dans leur souvenir d’hommes adultes. « C’est notre deuxième père, il était toujours soucieux de notre avenir, de savoir si nous étions préparés pour être des hommes de bien et avoir une excellente formation », a ajouté Áliton, qui travaille au service de gestion du personnel dans une institution financière de Rio de Janeiro.

Lucian Fagundes

Aguilar actuellement est soldat de la Force Aérienne Brésilienne. 

Des innombrables parties de football qu’ils ont disputé sur le terrain multisports de l’ensemble éducationnel et de l’agréable période d’apprentissage, restent une certitude pour les jumeaux : l’éducation d’excellence. « L’école de la LBV nous a appris à avoir du discernement dans la vie, le respect des professeurs, de nos camarades, l’importance de l’union et de remercier Dieu pour tout. Nous avions des professeurs très qualifiés, qui nous préparaient avec sérieux », se rappelle Aguilar.

Eliana a inscrit les jumeaux à l’école de la LBV juste après son inauguration, en 1996. Selon elle, la demande de places était grande, à cause de l’infrastructure, de l’organisation et de l’opportunité pour les parents de laisser les enfants toute la journée dans l’établissement. « Je suis très heureuse de faire partie des 16 ans d’histoire du Centre Éducationnel. »

Elle s’émotionne aussi quand elle parle des moments difficiles et comment la famille a réussi à les surmonter. « J’avais beaucoup besoin de l’école, parce qu’à l’époque ma mère est tombée malade et j’ai dû m’occuper d’elle. Il y a eu une période où j’ai été au chômage, ça a été une bataille, mais comme ils restaient là toute la journée, ils rentraient à la maison propres, nourris... Je ne me souciait pas du dentiste, parce qu’il y en avait un à l’école ; pour un mal de ventre ou autre chose, ils pouvaient passer par le médecin de l’école, et les professeurs me disaient tout ce qui avait été fait. Ça a été un soulagement. »

Avec le temps, Igor et Beatriz ont aussi été inscrits au centre d’enseignement de la LBV. À ce moment-là, Eliana savait ce que représentait l’Institution pour sa famille : « C’est la deuxième maison de nos enfants. Tout le personnel a de la tendresse pour les enfants, c’est une sécurité pour nous ».

Collaborez pour étendre ce travail. Faites votre don en ligne, par le site www.legionofgoodwill.org. Pour d’autres informations écrivez à : francais@boavontade.com.

Français

La LBV a participé du Sommet des Nations Unies sur le développement durable

De la rédaction

28/09/2015 à 15:49, Lundi | Mis à jour le 22/09 à 16:57

Entre les 25 et 27 septembre, pendant le Sommet des Nations Unies sur le Développement durable, au siège de l’ONU à New York, un nouveau programme mondial a été adopté à l'unanimité par les 193 États membres des Nations Unies. La Légion de la Bonne Volonté (LBV) a été invitée à intégrer le groupe d’organisations de la société civile qui a participé du Sommet.

En cette opportunité historique, la LBV a été reconnue par son importance internationale dans le combat à la misère et par ses contributions aux procès préparatoires pour la formulation du nouveau programme de développement d’ici à 2030 avec autres institutions.

D’après les Nations Unies, ce programme « couvrent l'ensemble des dimensions du développement durable, à savoir la croissance économique, l'intégration sociale et la protection de l'environnement ».

+Voyez les photos

ONU/Cia Pak

Avant le Sommet sur le développement durable, un film célébrant le 70ème anniversaire de l’ONU et les objectifs de développement a été projeté sur les bâtiments de l’Organisation à New York.

Le programme a été conçu afin de parachever au cours des 15 prochaines années. Il est intitulé « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l'horizon 2030 » et comporte 17 Objectifs de développement durable (ODS) et leurs 169 cibles.

La Légion de la Bonne Volonté a participé d’un des six panneaux qui ont intégré la programmation officielle sur le combat à la misère. En cette occasion, elle a présenté le magazine BONNE VOLONTÉ Développement durable 2015, publié en anglais, espagnol, français et portugais. Dans l’éditorial « Altruisme – une révolution », le président de LBV, José de Paiva Netto, a déclaré : « Quand la violence le menace plus intensément, le développement d’un peuple ne peut faire abstraction de l’esprit philanthropique et donc, humanitaire, allié à celui de justice intègre et de gestion compétente. »

LBV et ONU

LBV est une organisation de la société civile avec statut consultatif général auprès du Conseil économique et social (Ecosoc) des Nations Unies, depuis 1999, et associée au Département de l’Information (DPI) de l’ONU, depuis 1994. Cette condition permet à l’Institution de participer et de contribuer aux débats de l’ONU sur des thèmes importants. De cette façon, elle a fraternellement présenté des recommandations en ce qui concerne la mise en œuvre de politiques publiques et d’actions humanitaires internationales.

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Un forum mondial discute les bienfaits de la Foi sur la Santé

De la rédaction

24/09/2015 à 17:12, Jeudi | Mis à jour le 22/09 à 17:04

De nombreux récits relatent, tout au long de l’histoire de l’Humanité, que la croyance en un Pouvoir Supérieur peut atténuer une douleur ou guérir des maladies par ce qu’on appelle miracles. Ces dernières années, des scientifiques et chercheurs du monde entier se sont engagés à mieux comprendre le rôle de la Foi et de la Spiritualité dans la Médecine.

Ce sujet inspire également le panneau thématique du Forum Mondial Esprit et Science, promu par la Légion de la Bonne volonté (LBV) le 12 août 2015. L’événement a réuni plus de 500 personnes, parmi lesquelles des médecins, des scientifiques, des chercheurs, des religieux, des professeurs et étudiants et le grand public pour discuter sur le thème central « Spiritualité, Santé et Science ». Depuis l’an 2000, le forum présente une série d’études et d’analyses et favorise l’échange entre la connaissance scientifique et les nombreuses traditions religieuses*.

André Fernandes

Junto ao público, que superlotou o Plenário José de Paiva Netto e o auditório Austregésilo de Athayde, alguns dos palestrantes acompanham a abertura do Painel Temático.

Cette édition a eu lieu au Parlement Mondial de la Fraternité Œcuménique, le ParlaMundi de la LBV, à Brasilia, capitale du Brésil. L’événement compte sur l’illustre participation de conférenciers comme : le Dr Carlos Eduardo Tosta, immunologiste et professeur émérite de la Faculté de Médecine de l’Université de Brasília (UnB) ; Dr André Stroppa, psychiatre, professeur de l’Université Fédérale de Juiz de Fora (UFJF), doctorant et titulaire d’un master du Centre de Recherches en Spiritualité et Santé (Nupes) ; Dr Julio Peres, psychologue et docteur en neurosciences et comportements de l’Université de São Paulo (USP), et est titulaite d’un post-doctorat du Centre d’Études sur la Spiritualité et l’Esprit, de l’Université de Pennsylvanie (EUA) ; Mère Adna Santos de Araújo, Coordinatrice du Réseau de la Santé chez les Afro-descendants (Renafro) et présidente de Ileaxéoyabagan ; et le Moine Shojo Sato, Coordinateur du Temple Bouddhiste Terra Pura de Brasília.

Les intervenants ont abordé les thèmes suivants : « Le pouvoir de guérison de l’amour — évidences scientifiques » ; « Spiritualité et Santé : plus on en sait, plus on doit savoir » ; « Spiritualité, religiosité et psychothérapie » ; « Santé et Spiritualité dans la perspective des traditions Afro-descendantes »; et « Santé et Spiritualité dans la perspective bouddhiste ».

Érigé à côté du Temple de la Bonne volonté (TBV), le ParlaMundi de la LBV se trouve à l’adresse suivante : Asa sul 915 — Brasília, Brésil. Pour plus d’informations, parlez avec nous.

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*Le fondateur du Forum Mondial Esprit et Science Paiva Netto affirme : « Ce que la Religion intuitionne sera un jour prouvé par la Science dans les laboratoires. La Science sans Religion assèche l’Âme. La Religion sans la Science peut déboucher sur le fanatisme. C’est la raison pour laquelle, à l’ère idéale que nous souhaitons tous voir surgir à l’horizon de l’Histoire, la Science (cerveau, esprit), illuminée par l’Amour (Religion, cœur fraternel) élèvera l’être humain à la conquête de la Vérité ».

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Nourrir un futur meilleur

De la rédaction

04/08/2015 à 16:09, Mardi | Mis à jour le 22/09 à 16:07

Issu de la campagne permanente de la Légion de la Bonne Volonté contre la pauvreté et l’exclusion sociale — une initiative débutée dans les années 1940 au Brésil — le programme Ronde de la Charité consiste à apporter des repas, des vêtements, un soutien moral et un réconfort spirituel aux personnes et aux familles vivant en situation de vulnérabilité sociale.

Arquivo BV

En Bolivie, même si on a avancé de manière significative dans la lutte contre la faim, des milliers de personnes n’ont pas d’accès garanti à la nourriture en quantité, qualité et régularité indiquées par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Pour aider à changer ce sombre tableau, la LBV a mis en œuvre depuis 1994 ce programme qui a commencé dans la ville de La Paz et à travers lequel l’Institution a étendu son travail, en accordant une attention particulière aux enfants issus de familles de bas revenus et aux indigents.

Actuellement, les activités ont lieu trois fois par semaine dans la capitale et tous les jours à Santa Cruz de la Sierra. Dans ces localités, environ 400 filles et garçons bénéficient chaque année des services et des activités menées dans le cadre du programme. Pour les mères des enfants, l’Institution offre des cours de formation professionnelle et d’alphabétisation afin de les aider à réunir les conditions de contribuer à l’augmentation des revenus de la famille.

Avec le programme, les habitants des communautés soutenues ont commencé à adopter des habitudes alimentaires plus saines, comme l’a expliqué l’assistante sociale de la LBV Jenny Mancilla : « Avant, leur alimentation se limitait à leur propre production qui, à elle seule, ne contenait pas les nutriments nécessaires à leur développement. Aujourd’hui, avec la Ronde de la Charité, de la LBV, les parents peuvent économiser pour acheter des aliments riches en vitamines pour les repas, ce qui améliore les habitudes alimentaires de toute la famille. »

D’après Celestina Aguilar Chuquinia, de La Paz, ses trois enfants peuvent avoir des repas complets avec des légumes, des fruits et des protéines grâce à la Légion de la Bonne Volonté. « La nourriture que vous nous servez, à l’Institution, est très nutritive. Je remercie la LBV, parce qu’ils sont en meilleure santé ; ils ne tombent pas malades comme avant. Merci beaucoup pour cette aide très importante pour nous », a-t-elle souligné. 

Collaborez pour étendre ce travail. Faites votre don en ligne, par le site www.legionofgoodwill.org. Pour d’autres informations écrivez à : francais@boavontade.com.

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