Da redação

Les Institutions de la Bonne Volonté célèbrent le centenaire de la naissance d’Alziro Zarur

De la rédaction

22/12/2014 à 18:23, Lundi | Mis à jour le 22/09 à 16:57

Alziro Abrahão Elias David Zarur (nom de baptême) — descendant de sirio-libanais et  l’une des plus belles et puissantes voix de la radio brésilienne — est né à Rio de Janeiro, le jour du Noël de Jésus 1914, étrangement un jour de Paix en cette année où éclatait la Première Guerre Mondiale.

Il a proclamé le Nouveau Commandement de Jésus : « Comme Je vous ai aimés , vous aussi, aimez-vous les uns les autres ». (Évangile selon Jean 13, 34), et il l’a défini comme « l’essence de Dieu »1. Il a été le premier à instituer le dialogue interreligieux, à la fin des années 40, inaugurant la Croisade des Religions Fraternelles. C’est lui qui, pour la première fois, a affirmé en public que tout le monde peut parler directement avec Dieu, sans intermédiaires.

Pour concrétiser ces idées et pensant toujours à ceux qui souffrent, il a fondé la Légion de la Bonne Volonté (LBV) le 1er janvier 1950 (Jour de la Paix et de la Confraternisation Universelle), la présidant jusqu’à son décès, le 21 octobre 1979, date à laquelle José Simões de Paiva Netto lui a succédé.

Ce sont quelques-unes des actions innovatrices du journaliste, homme de radio, écrivain, activiste social et poète Alziro Zarur qui, s’il était encore avec nous, aurait 100 ans le 25 décembre 2014. Ses propositions ont aidé à transformer la pensée humaine des dernières décennies, en apportant au monde un message de Paix et d'Union.

____________________________
1 - Définition d’Alziro Zarur, extraite du livre Paiva Netto et la proclamation du Nouveau Commandement de Jésus — La saga héroïque d’Alziro Zarur (1914-1979) sur Terre.

Français

Un avenir meilleur est possible : voyez l'historie de Luis Aguilar

De la rédaction

15/06/2015 à 16:44, Lundi | Mis à jour le 22/09 à 16:07

Dès son débarquement en Bolivie, il y a deux décennies, la Brésilienne Elizabeth Veríssimo Mac Lean a rencontré une réalité plus pauvre que celle avec laquelle elle était familiarisée, et elle a décidé d’aider les familles de ce pays qui était devenu son nouveau foyer. Avec elle, ont été quelques souvenirs et une volonté énorme de faire la différence. « Il faut dire la vérité, je fais beaucoup de chose ici », dit-elle fièrement.

Tout comme Elizabeth, la Légion de la Bonne Volonté est née au Brésil et a étendu l’exercice de la Solidarité à d’autres pays. « La présence de cette œuvre à Brasília a toujours été forte, je me le rappelle bien. (...) C’est un travail très important, c’est pour cela que je l’ai choisi », justifie-t-elle.

Arquivo Pessoal

Luis Aguilar, pendant son enfance, quand il participait à la LBV. 

En Bolivie, où plus de la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté (selon une étude de l’Organisation des États ibéro-américains pour l’Éducation, la Science et la Culture — OEI, 2006), cette bénévole a connu de nombreuses histoires de personnes qui ont réussi à surmonter les obstacles. L’une d’elles est celle de Luis Aguilar, un ancien élève qui est entré à la LBV de La Paz à l’âge de 2 ans. Son histoire se confondait alors avec celle de beaucoup d’enfants boliviens, dont la famille vivait dans de grandes difficultés. Dans le cas de Luis, sa mère était au chômage, car elle n’avait pas d’endroit où laisser l’enfant, et son père fabriquait des briques en argile. Ayant des revenus insuffisants, la famille a trouvé dans l’Institution le soutien nécessaire pour chercher une vie meilleure.

« Notre condition de vie n’était pas bonne ; nous avions peu de ressources. Et c’est ce que je me rappelle. Mais, tant que j’ai été à la LBV, je n’ai jamais manqué de rien. Elle a été très importante dans ma vie : mes premiers pas, les études, la responsabilité. J’ai appris des valeurs », a raconté cet ancien élève.

Arquivo Pessoal

Le jeune avec les autres intégrants du groupe de musique folklorique Jach’a Mallku (Luis Aguilar est le deuxième à partir de la gauche). 

À 25 ans aujourd’hui, il travaille comme musicien, il a étudié au Conservatoire National de Musique de Bolivie, et il joue de la quena (flûte andine) dans un groupe traditionnel de musique folklorique Jach’a Mallku, avec lequel il s’est présenté au Canada, aux États-Unis, dans toute l’Amérique Latine, en Espagne et en Italie. Il a remercié pour la chance qui lui a été donnée : « J’ai reçu une bonne éducation. Quand je suis sorti de la LBV, je suis allé directement en première année. Je n’ai pas eu besoin de faire l’année préscolaire. Je n’ai eu aucun problème parce que j’étais préparé, je savais déjà beaucoup de choses ».

Arquivo BV

Fidelia Rojas

Camarade d’Aguilar et ancienne élève de la LBV, Fidelia Rojas Salazar, âgée elle aussi de 25 ans, se souvient avec tendresse de son enfance dans l’Institution : « J’ai beaucoup étudié ici. J’ai dit mes premiers mots, j’ai appris à avoir confiance en moi et à aller de l’avant. Je remercie pour tout le soutien quand nous en avons eu le plus besoin ». Trois frères de Fidelia aussi ont été accueillis, ce qui a permis à leur mère d’obtenir un travail et d’améliorer les revenus de la famille.

De ce qu’elle a appris au Jardin d’Enfants Jésus, la jeune se souvient surtout des valeurs et des leçons précieuses pour la vie. « Il est important d’avoir de l’amour pour la carrière, du courage et beaucoup de responsabilité », a ajouté Fidelia, qui est maintenant aide-infirmière.

LBV de la Bolivie

À La Paz, la LBV de la Bolivie maintenait depuis 1986 une crèche destinée à des enfants en situation de vulnérabilité sociale. En 1994, ce travail a été étendu, et le Jardin d’Enfants Jésus a commencé à fonctionner, il accueille aujourd’hui plus de 90 enfants entre 2 et 5 ans. Grâce au soutien du peuple bolivien, ont été créés le Centre de Formation Téchnique et le Centre d’Alphabétisation, avec l’objectif d’enseigner à lire et à écrire et d’offrir des techniques et d’autres outils de professionnalisation aux parents qui n’ont pas eu l’opportunité de fréquenter l’école. Dans le pays, environ un million de personnes (soit 10% de la population, d’après les données du recensement de 2001) n’ont pas accès au système éducatif. Pour d’autres informations : www.lbv.org.bo

Français

Lutter contre la violence à l'égard des femmes c'est favoriser leur autonomisation

De la rédaction

15/05/2015 à 11:25, Vendredi | Mis à jour le 22/09 à 16:07

La violence de genre est le fruit de relations entre hommes et femmes historiquement inégales, causant la subordination de la population féminine. Par conséquent, il faut pour l’éradiquer prendre des mesures qui assurent des chances égales d’emploi pour les femmes et les hommes, ainsi que des campagnes contre toute forme de discrimination et de violence.

Leilla Tonin

Selon les informations d’ONU Femmes, en Amérique latine, le Brésil, le Costa Rica, le Chili, le Salvador, le Guatemala, la Colombie et l’Argentine (encore en train d’être examiné au Sénat) disposent d’une législation qui prévoit des mesures spécifiques pour protéger les femmes dans les situations de violence de genre.

D’importantes stratégies s’allient dans la lutte contre ce fléau. L’initiative du gouvernement fédéral brésilien de créer le Secrétariat Spécial chargé de Politiques pour les femmes (SPM) en 2003, avec son Centre d’appels pour les femmes (Allo 180), et de sanctionner la Loi Maria da Penha (11.340/2006) représente un progrès pour le respect envers la femme. Des mesures comme celles-ci contribuent à l’identification des cas de violence et à faire en sorte que la punition pour les agressions contre femmes dans leur foyer et leur famille soit plus rigoureuse.

Aujourd’hui, selon le SPM, le Brésil compte 375 commissariats spécialisés pour les femmes, 115 centres d’accueil et 207 centres de référence, outre 72 foyers et 51 tribunaux spécialisés en violence conjugale et familiale (plus 42 sections judiciaires adaptées). L’enjeu aujourd’hui est en même temps d’étendre cette structure et d’améliorer la formation pour l’accueil des victimes.

D'autres voies pour résoudre

La Légion de la Bonne Volonté, une organisation de la société civile brésilienne, compte presque 70 unités socioéducatives partout au pays, où elle privilégie la qualité de l’accueil. Chaque jour, le travail solidaire de la LBV bénéficie à des milliers d’enfants, de jeunes et d’adultes en situation de risque social dans des dizaines de villes des cinq régions du pays.

Vivian R. Ferreira

« J’ai avancé dans la vie »
Juliana Reis*, 28 ans.

 

« Mon enfance s’est passée dans les champs. Je n’ai pas pu étudier, je travaillais. Lorsque j’ai eu 14 ans, ma mère est partie à Feira de Santana (Bahia). J’habitais avec ma tante qui m’a mise dehors. Puis j’ai rencontré le père de mon fils aîné. Ça n’a pas bien marché avec lui et je suis venue à Salvador pour la première fois. J’étais enceinte et je ne le savais pas.

 

« J’ai vécu un an dans la rue, sous une marquise, en dormant dans des journaux. J’ai décidé de retourner à Serrinha et j’ai dû demander de l’aide à ma famille. Je suis restée là une autre année, mais mon fils est tombé malade — il est cardiaque — et j’ai dû repartir à Salvador. À cette époque, j’étais de nouveau avec le père de mon enfant. Quand il a quitté l’hôpital, on est allé chez ma belle-mère, mais là encore cela n’a pas fonctionné et on s’est séparés. Je suis allée vivre avec les sans-abri.

 

« Après un certain temps, j’ai rencontré le père de mes deux enfants les plus jeunes, et nous sommes allés vivre chez sa mère. (...) Nous y avons vécu jusqu’à ce que ma fille ait 6 ans, mais mon mari a commencé à sentir des douleurs et lorsque nous avons découvert le cancer, il n’y avait plus rien à faire.

 

« J’ai passé deux mois à l’hôpital avec lui jusqu’à sa mort. Ça a été une situation encore pire pour moi. J’étais désespérée, sans savoir quoi faire. Je n’avais pas d’emploi, aucuns moyens. C’est à partir de ce moment-là que la Légion de la Bonne Volonté est entrée dans ma vie. C’est elle qui m’a aidé pour l’enterrement de mon mari. J’ai une immense gratitude, parce qu’à cette époque, je n’avais personne.

 

« Aujourd’hui, mes enfants vont à la LBV. Je sais qu’ils sont en lieu sûr, où il y a des gens compétents qui peuvent leur enseigner des choses qu’ils n’auraient pas apprises à la maison. Ici, ils ont à manger, Internet, des cours de chant, de la danse, le football.

 

«Dans l’Institution, ils ont connu le respect, l’amour et ils ont appris à partager. L’amour, le respect d’autrui, une chose que je n’ai jamais eu, ils l’ont à la LBV. Jusqu’à aujourd’hui, quand j’ai besoin, la LBV me trouve du riz, de la soupe, car avec ce que je gagne, ce n’est pas toujours assez pour acheter.

 

« Il y a beaucoup de gens qui ont bon cœur qui collaborent avec la LBV. Comme ça, ils aident la Légion de la Bonne Volonté à soutenir des gens qui en ont besoin, à nourrir un enfant qui n’a rien à manger à la maison, à donner une chance à la mère d’aller travailler pendant que son enfant est pris en charge. »

Leilla Tonin

Dans un environnement sûr et de qualité, l’Institution éduque et transmet les valeurs de la citoyenneté, ce qui favorise la récupération de l’estime de soi. Dans chacune de ses unités, les collaborateurs et les bénévoles reçoivent une formation professionnelle afin qu’ils puissent mieux accueillir ceux qui en ont besoin. Pour cela, chaque action mise en œuvre par la LBV, à travers ses programmes, ses campagnes et ses projets socioéducatifs, est guidée par la Pédagogie de la Bonne Volonté. Elle permet ainsi à l’individu de faire l’expérience de valeurs éthiques, spirituelles et œcuméniques, indispensables à la formation d’une Culture de Paix.

Collaborez pour étendre ce travail. Faites votre don en ligne, par le site www.legionofgoodwill.org. Pour d’autres informations écrivez à : francais@boavontade.com.

____________________________________
* Juliana Reis est femme de ménage. Ses trois enfants sont inscrits dans le programme LBV — Enfant : le Futur au Présent !, au Centre communautaire d’assistance sociale de l’Institution à Salvador, Brésil.

Français

La lutte contre les inégalités en Bolivie en offrant le meilleur endroit pour un enfant

De la rédaction

14/05/2015 à 19:57, Jeudi | Mis à jour le 22/09 à 16:07

La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme — adoptée et proclamée par l’Organisation des Nations Unies le 10 décembre 1948 — établit dans son Article 1er que : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ». Ce précepte est une condition indispensable pour l’harmonie sociale. Cependant, il reste encore beaucoup à faire pour une réelle prise de conscience et le vécu de ces valeurs.

Divulgação

Considérée comme une violation grave des droits de l’homme, la violence contre les femmes porte gravement préjudice à la société, et constitue un obstacle au propre développement d’un pays. En Bolivie, la situation n’est pas différente, tout comme dans d’autres parties du monde. Le Centre d’information et de développement de la femme (CIDEM, Centro de Información y Desarrollo de la Mujer) rapporte que 7 Boliviennes sur 10 ont déjà été victimes de mauvais traitements — ce qui comprend aussi les nombreuses formes de violence contre les femmes : physique, sexuelle, psychologique et économique.

Malgré la création de lois importantes pour lutter contre la violence et les inégalités de genre dans le pays, il y a un long chemin à parcourir pour mettre fin à tous les types de conduite qui offensent l’intégrité, la santé physique ou à la dignité des femmes. L’analphabétisme et le manque de formation technique et professionnelle sont des exemples de problèmes rencontrés par la société bolivienne, surtout par les femmes.

La Légion de la Bonne Volonté de la Bolivie a commencé son travail socioéducatif en 1986. Cette année-là, l’Institution a inauguré dans la capitale, La Paz, une crèche destinée à accueillir des enfants en situation de vulnérabilité. Elle s’est vite retrouvée face à la nécessité urgente de soutenir des centaines de familles vivant dans la pauvreté, dont beaucoup n’avaient pas accès à l’éducation de base et à des opportunités d’emploi.

Le meilleur endroit pour un enfant
Marta*, 30 ans.

« Je n’ai jamais connu mon père. Quand j’étais petite, il a abandonné ma mère. Je suis restée un certain temps chez mes grands-parents et mes tantes, mais ils me battaient beaucoup..., mais même ainsi, j’aurais encore préféré supporter leurs agressions à ce que j’ai dû passer avec mon beau-père, qui abusait de moi.

 

« À 16 ans, je me suis enfuie de la maison et j’ai alors rencontré le futur père de mes enfants. Mais c’était traumatisant de vivre avec lui. J’ai beaucoup souffert, parce qu’il me battait et je n’avais aucune aide. Je n’avais pas d’endroit où laisser mes enfants, alors je les emmenais avec moi au travail. Cependant, par la faute de mon mari, ils m’ont renvoyée... Quand il était saoul, il allait là-bas m’embêter. Depuis, je vends des bonbons et des friandises dans la rue, au milieu des voitures.

 

« Après que mon mari est parti, j’ai pensé mettre mes enfants dans un internat. Nous vivions dans une chambre avec ma mère et mon beau-père, et je n’avais pas envie de vivre là... Je ne voulais pas qu’il arrive à ma fille la même chose qu’avec moi. Si une amie ne m’avait pas conseillé d’obtenir l’aide de la LBV, je serais encore aujourd’hui en train de porter mes enfants dans la rue. Maintenant, j’ai un endroit où les laisser, pour qu’ils ne souffrent pas de la chaleur, ou du froid, et de la faim.

 

« La LBV, c’est comme si c’était chez moi. Je m’y suis fait beaucoup d’amis et je suis en train de me récupérer — je parle avec le psychologue, et cela m’a beaucoup aidée. C’est le meilleur endroit qui soit ! Mes enfants reçoivent de la nourriture, ils sont scolarisés, ils ont appris à lire. Avant, je ne pouvais pas leur apprendre parce que je me consacrais aux ventes pour leur donner quelque chose à manger. Maintenant, j’arrive à en tirer un peu plus de revenus. Je suis plus tranquille parce que je sais qu’ils y sont bien. La LBV est le meilleur endroit qu’une mère puisse trouver pour son enfant. »

La LBV de la Bolivie

Afin de transformer la vie de nombreuses familles dans ces communautés en une vie meilleure, la LBV a élargi son activité avec l’inauguration en 1994 de l’École maternelle Jésus, accueillant les enfants de 2 à 5 ans. Des cours de formation professionnelle et l’apprentissage des premières lettres sont offerts aux parents au Centre de Formation Technique et au Centre d’Alphabétisation, respectivement.

Leilla Tonin

Les enfants, les jeunes et les adultes bénéficient aussi de programmes d’assistance sociale de la Légion de la Bonne Volonté, notamment Éducation en action, Hygiène buccale : des dents propres, Des Enfants sains et Noël Permanent de la LBV — Jésus, Notre Pain de chaque jour !.

Collaborez pour étendre ce travail. Faites votre don en ligne, par le site www.legionofgoodwill.org. Pour d’autres informations écrivez à : francais@boavontade.com.

_________________________________
*Marta (nom fictif) est vendeuse ambulante à La Paz, capitale de la Bolivie. Deux de ses quatre enfants sont encore inscrits à l’École maternelle Jésus, de la LBV. 

Français

Cinq recommandations pour la prévention du diabète

De la rédaction

13/05/2015 à 19:57, Mercredi | Mis à jour le 22/09 à 16:07

Le diabète affecte 284 millions de personnes dans le monde entier. Jusqu’en 2030, ce nombre devra atteindre 439 millions, d’après la prévision annoncée en novembre par la Fédération Internationale du Diabète (FID), liée à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

En réponse à la demande croissante d’informations sur la maladie, en 1991, la FID a institué la Journée Mondiale du Diabète, célébrée annuellement le 14 novembre. Cependant, affirme l’endocrinologiste Walter Minicucci, vice-président de la Société Brésilienne du Diabète (SDB) personne ne la fête : « Cette date a été créée pour attirer l’attention sur ce grave problème. Si nous ne faisons rien, il n’y aura pas assez de médecins pour soigner tout le monde, et nous n’aurons pas de devis de santé qui puisse faire face au problème ». Le « ne rien faire » fait référence au comportement et aux habitudes alimentaires modernes qui représentent la principale cause du diabète du type 2.

Shutterstock

Considérée la plus grande initiative mondiale en ce qui concerne le diabète, la date a été choisie pour rendre hommage à la naissance du scientifique canadien Frederick Banting qui, en partenariat avec Charles Best, fut le responsable de la découverte de l’insuline, en octobre 1921. Deux ans plus tard, Banting recevait le Prix Nobel de Médecine pour ce fait, et pour l’application de l’insuline au traitement des diabétiques.

La maladie surgit en conséquence de problèmes avec la production et la fourniture d’insuline dans l’organisme ; elle est caractérisée par des niveaux élevés de glycose dans le sang, provoqués par l’incapacité du pancréas à produire l’insuline, qui est essentielle au bon fonctionnement de notre corps et lui permet d’utiliser le sucre comme principale source d’énergie.

À l’origine, la maladie est classée en deux groupes : type 1 et type 2. Entre 5% et 10% des cas de diabètes sont du type 1, qui commence, le plus fréquemment, pendant l’enfance. Ces individus sont appelés de dépendants d’insuline. Alors que le type 2 est la forme la plus commune de la maladie, représentant près de 90% des cas. La maladie débute, en général, chez des personnes déjà adultes, mais pas nécessairement, obèses ou avec une forte influence héréditaire.

Pour les spécialistes, le diabète est la grande épidémie de l’actualité : le nombre de malades ne cesse de croître non seulement en incidence, mais aussi en prévalence et en décès. À ce niveau, la maladie affecte le propre développement économique, car le traitement est habituellement cher. Pour les États-Unis, exemple signalé par l’équipe du Centre de Prévention et de Contrôles de Maladies (CDC), les soins avec le problème en 2007 « ont couté plus de US$ 174 milliards, et doivent représenter une charge financière chaque fois plus élevée dans les années subséquentes. »

Et, d’après des études divulguées par le CDC des États-Unis, près d’un tiers des adultes pourra développer le diabète jusqu’en 2050 s’ils continuent d’être sédentaires et à augmenter de poids.

À chaque année, les personnes qui découvrent qu’elles sont porteuses du diabète accusent communément la hâte et le manque de temps, outre l’influence des nouvelles technologies, de leur mauvaise alimentation et de leur sédentarisme. « C’est un ensemble de facteurs qui devrait rendre notre vie plus productive et finit par compromettre la productivité en fonction d’une incidence plus élevée de maladies, de chute de la résistance physique, d’obésité, de stress, d’anxiété », nous dit la technicienne d’infirmerie de l’Hôpital Régional de São Paulo, Denise Turre Limeira. Rompre ce cercle vicieux devient un véritable défi.

Changer de style de vie

Outre les bénéfices déjà connus, tels que la prévention de maladies cardiaques, la prévention de l’ostéoporose, la réduction du cholestérol, la réduction de l’hypertension, le combat à l’obésité, et tant d’autres, l’exercice physique a un effet encore plus important : l’individu capable d’incorporer les activités physiques à ses habitudes de façon définitive, découvre une nouvelle formule de vie.

L’alimentation saine jointe à la pratique d’exercices physiques est essentielle pour avoir une vie meilleure. Voyez ci-après, 5 recommandations importantes, indiquées par la Société Brésilienne du Diabète :

Et, n’oubliez pas : si vous mangez un dessert régime ou light, ne prenez qu’une seule portion. Manger le double peut signifier la même chose que manger des bonbons super caloriques.

Traduction : Bernard de Masredon.
Révision : Ana Paula de Oliveira.

Français

"Éduquer. Préserver. Survivre. Humainement, nous sommes aussi la Nature".

De la rédaction

01/05/2015 à 17:34, Vendredi | Mis à jour le 22/09 à 16:08

Vidéo réalisé par la Légion de la Bonne Volonté (LBV), à l'occasion du Sommet Rio+20 des Nations Unies. Affirme le président de la LBV, Paiva Netto : "Éduquer. Préserver. Survivre. Humainement, nous sommes aussi la Nature".

 

 

Collaborez pour étendre ce travail. Faites votre don en ligne, par le site www.legionofgoodwill.org. Pour d’autres informations écrivez à : francais@boavontade.com.

Français

École de qualité aide des familles pauvres à Montevideo, Uruguay.

De la rédaction

30/04/2015 à 22:32, Jeudi | Mis à jour le 22/09 à 16:08

Promouvoir la bonne éducation d’enfants, d’adolescents, de jeunes et d’adultes constitue l’une des missions de la Légion de la Bonne Volonté, ce qui vient à la rencontre du deuxième des huit Objectifs du Millénaire pour le développement établis par l’ONU : « Assurer l’éducation primaire de qualité pour tous ».

En vue de cet objectif, l’Institut d’Éducation de la LBV de Montevideo, capitale de l’Uruguay, est devenu un motif de grande joie pour beaucoup de personnes accueillies, venues de communautés moins favorisées. Dotée de salles de classe amples, lumineuses et aérées, l’école-modèle de la LBV accueille les enfants dans un environnement propice pour leur développement intégral, car sont travaillés les aspects physiques, moteurs, sociaux et spirituels. Avec cela, on renforce l’action de la famille, qui fait partie intégrante de la Pédagogie du Citoyen Oecuménique.

Tout dans ce lieu a été pensé en accord avec les particularités régionales, à partir des demandes des personnes accueillies et de l’expérience des professionnels uruguayens. Au deuxième étage du bâtiment, par exemple, une grande surface a été montée pour les activités de jeux et de sports, ainsi que pour recevoir des séminaires et des évènements qui visent à éduquer et former des jeunes et des adultes. Au rez-de-chaussée a été créé un environnement spécialement destiné aux personnes âgées. Toujours au même étage, il y a un vaste réfectoire, une ludothèque, un terrain de sports couvert et des cabinets médicaux et dentaire.

Arquivo BV

Daniela González dans une présentation culturelle de l’Institut d’Éducation de la LBV à Montevideo, en Uruguay.

Ancienne élève de l’Institut, Daniela García González aura 21 ans en juillet. Quand elle parle de son ancienne école, elle sourit et sa voix s’anime. « J’ai eu d’excellentes professeurs qui sont là jusqu’à aujourd’hui. J’ai appris beaucoup de choses. Quand je suis partie, j’ai ressenti un grand manque. Aujourd’hui, je me sens capable de continuer à étudier et je sais qu’en grande partie je le dois à la Légion de la Bonne Volonté, grâce au soutien et à la confiance qu’ils m’ont toujours faite », a dit la jeune fille, qui a gagné une bourse d’études et suit le cours de design graphique.

La mère de Daniela, Sandra González, raconte : « J’ai élevé toute seule mes trois filles et, pour y arriver, je travaillais toute la journée. J’avais besoin d’un endroit qui puisse s’occuper de ma fille, qui avait 3 ans à l’époque, vu que ses soeurs étaient à l’école. Dieu merci, j’ai trouvé le Jardin d’Enfants Jésus, de la LBV. Ma vie toute entière ne suffirait pas pour remercier pour cette Solidarité, les bons principes, enfin, l’action d’aider les familles, pour que nos enfants grandissent avec des valeurs, le respect envers leur prochain et envers euxmêmes. (...) Ma fille se souvient toujours de la LBV avec beaucoup de tendresse ».

Collaborez pour étendre ce travail. Faites votre don en ligne, par le site www.legionofgoodwill.org. Pour d’autres informations écrivez à : francais@boavontade.com.

Français

Une mère surmonte les défis pour amour aux enfants

De la rédaction

28/04/2015 à 22:30, Mardi | Mis à jour le 22/09 à 16:08

La Paraguayenne Lidia González, âgée de 32 ans, a deux enfants et une histoire victorieuse et émouvante. D’après elle, sa vie a commencé à se transformer quand elle a connu la Légion de la Bonne Volonté. En 2007, la famille traversait des moments très difficiles, Lidia et son mari étaient au chômage. Pour aider sa famille, elle avait besoin de travailler, mais elle n’avait personne à qui confier ses enfants en bas âge, Kevin, qui avait alors 2 ans, et Yamila, 1 an. « La LBV nous a donné un soutien primordial », se souvient-elle.

Arquivo BV

Lidia et ses deux enfants, Kevin, qui a aujourd'hui 7 ans, et Yamila, 6 ans.

Elle a cherché une solution pendant des semaines, elle est allée dans divers collèges publics, mais elle ne trouvait que des places pour des classes à mi-temps, et les jardins d’enfants de la ville d’Asunción, qui accueillent à temps complet, sont presque tous des écoles payantes, une dépense que la famille n’aurait pas pu prendre en charge. À cette occasion, une amie de Lidia lui a parlé de la LBV. À l’unité d’assistance sociale de l’Institution, elle a exposé son problème et elle a rempli un formulaire de demande de places pour les enfants.

L’assistante sociale de la LBV Alma Ferreira leur a rendu visite chez eux pour mieux connaître la situation familiale. « C’était une petite pièce, très simple ; nous avons pu constater le besoin de cette famille et l’importance pour eux de recevoir l’aide de la Légion de la Bonne Volonté », a-t-elle dit.

Très vite, Kevin et Yamila fréquentaient déjà le Jardin d’Enfants et École maternelle José de Paiva Netto, dans la capitale paraguayenne. Grâce à cette aide, elle a obtenu rapidement une place professionnelle comme employée domestique.

Quand la situation s’améliorait, Lidia a dû faire face à une autre difficulté. Elle ne pouvait plus compter sur son mari, qui avait décidé d’abandonner la famille. Malgré l’impact de cet abandon, cette mère savait que l’on s’occuperait bien de ses enfants et qu’elle pouvait continuer à travailler tranquillement, et plus : elle a cherché à se professionnaliser, elle a fait un cours pour devenir coiffeuse et, le diplôme en main, elle a été embauchée dans un salon de beauté. Avec l’augmentation de ses revenus, elle a acheté un petit terrain, et la construction de sa maison dont elle rêvait tant est aujourd’hui une réalité.

Pour Lidia, à partir de la rencontre avec l’Institution, s’est ouvert un nouveau monde devant elle. « Je remercie, de tout coeur la LBV de la possibilité pour mes enfants d’être ses élèves. Toute seule, je n’y serais pas arrivée. Merci, la LBV ! Cela fait quatre ans que ma vie a changé radicalement. Le soin que vous avez de mes enfants, l’hygiène, l’alimentation (...), pour moi c’est une bénédiction dont je remercie Dieu. » Émue, la mère souligne aussi : « La LBV est mon second foyer. Je me sens bien et tranquille de savoir que mes enfants sont à la Légion de la Bonne Volonté ».

À la LBV, des cas de réussite comme celui de Lidia González sont une réalité. Grâce aux programmes d’assistance sociale de l’Institution, de nombreuses femmes se fortifient et elles peuvent ainsi vaincre les défis pour maintenir l’union du foyer et élever leurs enfants avec dignité. 

Collaborez pour étendre ce travail. Faites votre don en ligne, par le site www.legionofgoodwill.org. Pour d’autres informations écrivez à : francais@boavontade.com.

Français

Un environnement de Paix et de citoyenneté

De la rédaction

28/04/2015 à 22:06, Mardi | Mis à jour le 22/09 à 16:08

La proposition pédagogique de la Légion de la Bonne Volonté a également acquis une notoriété dans les écoles nordaméricaines, à mesure que de plus en plus d’éducateurs l’appliquent en salle de classe.

Parmi ceux-ci, le travail du jeune professeur Mariana Malaman du Jardin d’enfants, de New Jersey. Avec le livre É urgente reeducar! (Il est urgent de rééduquer !) en mains, elle cite l’auteur de cette œuvre lui-même, le journaliste et écrivain Paiva Netto, pour expliquer les progrès obtenus avec ses élèves au moyen de cette pratique d’enseignement : « L’affection qui inspire notre approche pédagogique, prise dans son sens le plus haut, est, au-delà d’un sentiment d’Âme élevé, une stratégie politique, également comprise dans son sens le plus noble, en consonance avec la Justice Sociale, comme une stratégie de survie pour l’individu, les peuples et les nations ».

Se basant sur le modèle éducationnel proposé par Paiva Netto — dans lequel « Cerveau et Cœur », intellect et sentiment, travaillent ensemble pour former un Être intégral, le Citoyen Œcuménique —, l’éducatrice développe des activités qui incitent l’enfant à penser aux conséquences de ses actes et à avoir plus d’empathie avec ses camarades. « Je travaille avec des enfants de 4 et 5 ans et j’observe déjà des questions comportementales, différentes formes de harcèlement scolaire. J’ai donc décidé d’utiliser certaines techniques de la Pédagogie de l’Affection pour étudier cette question et faire réfléchir mes élèves les plus jeunes. » Et elle ajoute : « Pour les aider à contrôler les facteurs qui déclenchent un mauvais comportement, donnons-leur l’opportunité d’y réfléchir, au lieu de leur faire attendre le jugement du professeur. Et tous demandent souvent : “Je me suis bien porté aujourd’hui ?”, ce qui montre qu’ils sont déjà bien conscients de ce qui est bon et de ce qui est mauvais ».

La Pédagogie de l’Affection travaille des valeurs éthiques à travers le prisme de la Spiritualité Œcuménique, en stimulant la Solidarité, comme l’indique le professeur Mariana Malaman, et les résultats ont franchis les portes de l’école. Susana Marques, la mère d’Evan, 5 ans, a déclaré que non seulement elle est satisfaite de cette proposition éducative, tout comme elle défend aussi son application dans tout le système d’enseignement. « Je sens que la Pédagogie de l’Affection est un challenge et une très bonne manière de les faire réfléchir et d’évaluer leur comportement au jour le jour. J’ai noté une différence significative dans le comportement de mon fils », a-t-elle souligné.

Arquivo BV

Evan, 5 ans, pendant une activité de la Pédagogie de l’Affection appliquée, avec succès, par des professeurs nordaméricains.

Parmi les professionnels de l’éducation qui utilisent la proposition pédagogique de la LBV, il y a un consensus sur l’idée d’une éducation basée sur la Spiritualité Œcuménique est fondamental, car depuis très tôt la préoccupation a été presque exclusivement la maîtrise cognitive. « Pendant les réunions de parents et professeurs, j’entends souvent des questions comme “Mon fils va-t-il apprendre à lire avant 5 ans ?” ou “Qu’est-ce que je peux faire maintenant pour qu’il aille dans une université prestigieuse plus tard ?”. Les enfants ne doivent pas être mis sous pression, ils méritent d’avoir une enfance sans soucis pour explorer le monde autour d’eux, près de gens et d’environnements qui leur enseignent à devenir de bons citoyens. Après cela, ils seront prêts pour apprendre à résoudre des problèmes des mathématiques, des équations complexes, des questions de chimie, de physique ou de géographie », a affirmé Mariana Malaman.

De l’avis du professeur, si on joint à l’éducation l’atout de la Spiritualité Œcuménique, « l’enfant voit son estime de soi s’améliorer, il sait qu’à sa manière, il est extraordinaire, il peut être créatif, solidaire et il a le sens de l’éthique et de la morale ». Avec cela, ajoute Mariana, vient la notion du « respect pour ses parents, ses professeurs et ses camarades, et ainsi l’enfant comprend la diversité autour de lui et accepte ces différences comme quelque chose qui le grandit ».

Collaborez pour étendre ce travail. Faites votre don en ligne, par le site www.legionofgoodwill.org. Pour d’autres informations écrivez à : francais@boavontade.com.

Français

« Aujourd’hui je suis une artisane ! »

De la rédaction

28/04/2015 à 21:43, Mardi | Mis à jour le 22/09 à 16:07

Un exemple de persévérance. C’est ainsi que la définissent les personnes qui vivent autour de madame Maria Raimunda Mendes, membre du programme Espace d’échange d’expériences pour personnes âgées au Centre Communautaire d’Assistance Sociale de la Légion de la Bonne Volonté à São Luís, capitale de l’État du Maranhão, dans le nord-est brésilien, une région présentant des taux de pauvreté élevés. À 78 ans, cette femme victorieuse a une histoire marquée par de nombreux défis et, en même temps, par sa disposition d’esprit et par son amour de la Vie.

C’est au cours d’une visite récente à la capitale de l’État du Maranhão que l’équipe de la revue BONNE VOLONTÉ a connu un peu plus cette batailleuse. « Ma vie a été très difficile. Je n’avais aucune instruction, je n’avais fait aucun cours. Les gens qui m’employaient ne me donnaient pas l’opportunité d’étudier », se rappelle madame Maria Raimunda, qui a vu, en un court laps de temps, sa réalité changer en mieux.

+ Assistez à la vidéo de cette histoire de vie :

L’occasion a surgi à partir d’une invitation faite par la formatrice en artisanat Gracivalda Baldez Ribeiro, pour faire un cours professionnalisant offert par l’Institution. En 2008, à 75 ans, Maria Raimunda a fait son inscription. « Je me suis retrouvée à la Légion de la Bonne Volonté pour apprendre une profession. Ici, j’ai appris à être quelqu’un, à être polie. Aujourd’hui, je dis : je suis une artisane ! »

Pour elle, la vie commune avec les autres femmes accueillies au sein des programmes socio-éducatifs de la LBV, avec les formateurs, et l’apprentissage d’un métier l’ont aussi aidée à mieux communiquer. « Avant je ne savais recevoir personne, je traitais tout le monde grossièrement. La LBV m’a enseigné ce que je sais aujourd’hui. Tout ce que j’ai appris ici, je l’ai mis en pratique. Quand on veut quelque chose, on le fait. Et j’ai profité de l’opportunité que la Légion de la Bonne Volonté m’a donnée ! », affirme-t-elle. Récemment, madame Raimunda a aussi terminé le cours élémentaire d’informatique.

Avec l’effort et l’amour du travail sont venus de bons résultats. L’ouverture d’un magasin pour ses produits lui ont permis de réaliser un vieux rêve : construire sa propre maison. « J’ai réussi avec mon humble travail à construire une petite maison. (...) Grâce à mon travail, à mon artisanat, et avec l’aide de Dieu et de la LBV. »

Actuellement, madame Maria Raimunda s’occupe aussi de transmettre les connaissances qu’elle a acquises à d’autres femmes accueillies par l’Institution à São Luís. Selon elle, le travail bénévole est une façon de rétribuer l’affection et le respect qu’elle a toujours reçus à la Légion de la Bonne Volonté. C’est avec émotion qu’elle se rappelle : « Avant je vivais, mais pas aussi bien que je vis aujourd’hui. (...) Aujourd’hui, je suis heureuse, parce que, pendant que je fais ceci [artisanat], je ne suis pas en train d’attendre la mort ». Et se disant heureuse, épanouie, elle ajoute : « Aujourd’hui, je suis bénévole de la LBV, et j’en suis très fière ».

Collaborez pour étendre ce travail. Faites votre don en ligne, par le site www.legionofgoodwill.org. Pour d’autres informations écrivez à : francais@boavontade.com.

Français