Da redação

Histoire de succès : le soutien a la femme rurale

De la rédaction

28/04/2015 à 21:12, Mardi | Mis à jour le 22/09 à 16:08

En Bolivie, environ 1 million de personnes (ou 10% de la population, selon les données du recensement 2001) n’ont pas accès à l’éducation. La recherche de jours meilleurs pour la famille d’un couple bolivien a commencé par une importante décision. Marcela Chura, 38 ans, et son compagnon, Jose Mamani, 42 ans, ont décidé en 2006 d’échanger leur village natal, dans la province d’Omasuyos, pour vivre dans le district de San Miguel, dans la zone rurale d’El Alto, une ville à 50 kilomètres de La Paz, capitale de la Bolivie.

Jenny Mancilla

Là, ils ont obtenu un terrain et, après beaucoup d’effort, ils ont construit une maison simple, avec un toit en zinc et un sol en terre battue. Le logement de Marcela et Jose abrite le couple et ses sept enfants et, à l’exemple de la plupart des maisons de San Miguel, il était aussi précaire. Dans la localité, les habitants ressentent toujours le manque de assainissement de base.

Malgré autant de difficultés, la vie de cette famille a commencé à avoir de nouvelles perspectives. Jusqu’à récemment, son unique revenu provenait de travaux sporadiques du père maçon et du produit de la petite plantation de pommes de terre de la famille, utilisée principalement pour sa subsistance. Ce qui ne s’avérait pas suffisant, d’autant plus que Jose restait souvent pendant des jours sans travail. Dans ces occasions, ils manquaient de nourriture sur la table.

Ainsi comme ce foyer, la situation des familles de la région a commencé à s’améliorer quand la Légion de la Bonne Volonté a amené à San Miguel en avril 2011 deux programmes importants d’assistance sociale : le programme de Formation Technique (des cours de professionnalisation et de génération de revenus) et la Ronde de la Charité. Avec ces programmes, la LBV de la Bolivie met en oeuvre des actions d’inclusion sociale et familiale qui favorisent une prise de conscience des droits et des devoirs, la perception des opportunités et l’amélioration des bonnes pratiques communautaires, afin d’améliorer la qualité de vie collective et d’exercer effectivement une citoyenneté pleine.

Pour Marcela, l’aide à l’alimentation des enfants a été fondamentale. « Mon mari n’a aucune sécurité de l’emploi, et il se passait de nombreux jours sans que mes enfants aient de quoi manger. Parfois, je ne pouvais leur donner qu’un verre d’eau avec un peu de poudre d’orge. Depuis que la LBV est arrivée ici, le déjeuner est garanti pour nous deux fois par semaine. Nous attendons avec beaucoup de bonheur les mardis et les jeudis. »

Jenny Mancilla

Satisfaite de l’aide apportée aux enfants, cette femme de la campagne a aussi décidé de participer au cours de confection de fleurs en tissu offert par l’Institution. Après les premières leçons, elle a commencé à confectionner des arrangements floraux, desquels avec la vente les dépenses domestiques sont rapidement devenues moins lourdes. Ensuite, Marcela s’est inscrite au cours de montage de bijoux et, grâce à cette initiative, elle produit maintenant des accessoires, bracelets, colliers, boucles d’oreilles, porte-clés et des sacs.

Pour tout cela, elle pense déjà ouvrir un petit commerce. Malgré sa timidité, cette dame Bolivienne ne cache pas sa joie à l’amélioration de la qualité de vie. « Grâce à l’encouragement des leçons avec les professeurs de fleurs en tissu et le cours de bijoux, je me ferai un petit capital pour vendre ces pièces pour la Fête des Mères, la Journée de l’Amitié et à d’autres dates. Je suis très contente d’avoir du pain pour mes enfants. LBV, merci de nous aider ! »

Collaborez pour étendre ce travail. Faites votre don en ligne, par le site www.legionofgoodwill.org. Pour d’autres informations écrivez à : francais@boavontade.com.

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Des actions contre la violence à l'érgard des femmes, en Argentine.

De la rédaction

28/04/2015 à 19:42, Mardi | Mis à jour le 22/09 à 16:08

La violence domestique a affecté de nombreuses femmes en situation de risque social. Quand elles sont sujettes à des agressions au foyer, qui incluent le harcèlement physique, sexuel et psychologique, ces femmes voient aussi les conditions de pauvreté se perpétuer. À l’École maternelle Jésus, de la Légion de la Bonne Volonté à Buenos Aires, les mères, en plus de la place pour les enfants, trouvent une façon de se former professionnellement. Cela les aide à se sortir de l’état de dénuement, à apporter plus d’harmonie à leur famille et à offrir une vie meilleure à leurs enfants, comme dans les deux cas rapportés dans la suite, où nous utiliserons des noms fictifs pour protéger l’identité des personnes impliquées.

L’histoire de Zulma, 33 ans, mère de Miguel, 10 ans, Ramona, 7 ans, et Francisco, 3 ans, montre qu’il est possible surmonter les adversités. Abandonnée par le père de ses deux aînés, en situation précaire, Zulma est allée à la LBV en recherchant une école pour les enfants, un milieu qui les reçoive avec affection.

Plus tard, elle a essayé de refaire sa vie aux côtés d’un autre homme, le père de son enfant le plus jeune. Cependant, avec la nouvelle relation sont venues des agressions physiques. Avec peu de vêtements, sans meubles ni d’autres biens, cette mère a compté de nouveau avec l’appui de la LBV pour faire face à cette difficulté supplémentaire : elle a aussi obtenu une place pour Francisco, en 2011, dans le centre éducatif de l’Institution.

Pour Zulma, cela a été le point de départ pour une vie meilleure pour elle et sa famille : « Quand je suis venue à la LBV, je n’avais rien, je dormais par terre. Avec le soutien qu’ils m’ont donné, j’ai obtenu un travail de domestique et, ensuite, de femme de ménage dans un hôpital. Petit à petit, j’ai acheté un lit, un matelas... Maintenant, je me suis inscrite à un programme de logement du gouvernement et j’espère obtenir ma maison. Je veux que mes enfants aient quelque chose et je me suis aperçue que, pour eux, je dois continuer mes études. L’école de la LBV me donne un grand coup de main et m’aide à ouvrir mes horizons; là j’ai connu d’autres personnes qui sont passées par des problèmes égaux aux miens ».

L’histoire de la vie de Dolores, de 32 ans, a aussi changé de direction quand son plus jeune fils Pedro, 4 ans, a été inscrit à l’école maternelle de la Légion de la Bonne Volonté. D’origine bolivienne, Dolores est arrivée en Argentine à l’âge de 15 ans, fuyant l’extrême pauvreté et les mauvais traitements que ses propres parents, qui étaient alcooliques, lui infligeaient.

C’est avec un sentiment de gratitude qu’elle décrit l’expérience de surmonter toutes ses difficultés : « Nous vivions dans une pièce unique où tout le monde dormait, sans portes, sans rien. Alors, j’ai commencé à travailler comme couturière toute la journée, du lundi au dimanche ; je ne pouvais jamais voir mes enfants réveillés... Grâce à cette école nous avons pu aller dans un endroit meilleur et, en travaillant beaucoup, j’ai économisé de l’argent pour acheter mes machines. Cette école m’a donné tout ce que j’ai. Maintenant, je possède six machines et je fabrique des vêtements pour enfants. La LBV a changé ma vie ».

LBV de l’Argentine

L’École maternelle Jésus, de la LBV, est un exemple de ce qui peut être fait avec amour et dévouement en faveur de ceux qui en ont le plus besoin. Là, en plus du groupe d’éducateurs, une équipe interdisciplinaire (formée par un psychologue, une psychopédagogue, une assistante sociale, une psychomotricienne, un musicothérapeute et une technicienne en récréation) travaille les nombreux aspects de la vie familiale. Ainsi, l’action d’assistance sociale et une éducation de qualité ont aidé des familles à surmonter leur pauvreté et transformer la douleur en joie.

Collaborez pour étendre ce travail. Faites votre don en ligne, par le site www.legionofgoodwill.org. Pour d’autres informations écrivez à : francais@boavontade.com.

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Un avion avec 150 personnes tombe dans le sud de la France ; priez pour les victimes de l’accident.

De la rédaction

24/03/2015 à 13:54, Mardi | Mis à jour le 22/09 à 16:57

La Légion de la Bonne Volonté et son président, José de Paiva Netto, se solidarisent avec toutes les victimes, et leurs familles, de l’avion de la compagnie Germanwings qui est tombé ce mardi matin, 24, dans le sud de la France.

Michel Tosta

Modelo Airbus A-320, da Germanwings.

L’avion était parti de Barcelone, en Espagne, à Düsseldorf, en Allemagne, et transportait 150 personnes. D’après les informations locales, l’Airbus 320 a disparu des écrans radar une heure après avoir quitté la cité catalane. Le crash aurait eu lieu entre Barcelonette et Digne (Alpes-de-Haute-Provence), une zone difficile d'accès, selon les autorités françaises.

Courant Œcuménique de Prières

Le Portail Bonne Volonté invite tous les internautes à participer du Courant Œcuménique de Prières. Depuis ses débuts, pendant la décade de 1940, la Légion de la Bonne Volonté a incorporé à ses activités le Puissant Courant Œcuménique de Prières. Des personnes de toutes les religions, nationalités et traditions peuvent participer de ce courant, en incluant les noms de leurs personnes chères, familiers et amis, de façon à ce qu’ils reçoivent les bonnes vibrations en provenance de la prière.

À votre cœur, nous dédions les paroles de Paix de l’oraison œcuménique de Jésus, le Notre Père :

Notre Père,
qui êtes aux Cieux,
que Votre Nom soit sanctifié.
 Que Votre Règne vienne.
Que Votre Volonté soit faite aussi sur la Terre comme au Ciel.
Donnez-nous aujourd’hui notre pain de chaque jour.
Pardonnez-nous nos offenses,
 comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Ne nous laissez pas tomber en tentation,
mais délivrez-nous du mal,
 car Votre est le Règne,
 le Pouvoir et la Gloire pour les siècles des siècles.
Amen !

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Magazine BONNE VOLONTÉ Femme dans les Nations Unies

De la rédaction

09/03/2015 à 9:47, Lundi | Mis à jour le 22/09 à 16:07

La Journée internationale de la Femme, célébrée le 8 mars, ramène à notre mémoire les sacrifices et les défis affrontés par différentes femmes, tout au long des années, dans la lutte pour assurer leurs droits. Le magazine BONNE VOLONTÉ Femme, publication spéciale de la Légion de la Bonne Volonté (LBV), renforce la nécessité de travailler pour la valorisation de la femme et pour son influence, par les plus différents postes de la société, sur le développement des nations.

La nouvelle édition du magazine est lancée pendant la 59e session de la Commission de la condition de la Femme (CSW), qui se tient entre le 9 et le 20 mars, au siège des Nations Unies à New York. L’évènement fait un examen des 20 ans de la Quatrième Conférence mondiale sur les femmes, réalisée par l’ONU en 1995, dans la capitale de Chine, afin de mesurer les progrès et les défis dans la mise en œuvre de l'historique Déclaration et Programme d'action de Beijing en faveur de l’égalité des sexes et des droits des femmes.

Dans ce magazine (disponible en portugais, anglais, espagnol et français), la LBV présente ses recommandations de bonnes pratiques sociales, basées sur son travail solidaire, qui, de manière intégrée, dans les domaines de l’éducation, de la formation professionnelle, de la durabilité et de la communication, font que les femmes et les filles accueillies par l’Institution construisent un avenir plus digne, dans la perspective de la Culture de la Paix.

Cette édition montre aussi l’article « Beijing+20 (2015) », du journaliste Paiva Netto, dirigeant de la LBV, dans lequel il souligne le rôle féminin dans l’évolution de l’Humanité.

La publication compte également sur une interview avec la directrice exécutive d’ONU Femmes, Phumzile Mlambo-Ngcuka, qui dirige l’organisation avec toute son expérience sur la question des droits des femmes, avec un fort leadership stratégique et une grande pratique administrative. Pour elle, des mesures d’urgence et un effort collectif sont nécessaires de façon à ce que les filles et femmes aient réellement leur égalité de droits respectée.

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La participation des femmes aux médias

De la rédaction

06/03/2015 à 1:51, Vendredi | Mis à jour le 22/09 à 16:57

Vivian R. Ferreira

1) Vue partielle des rédactions du Super Réseau Bonne Volonté de Radio et du portail Bonne Volonté; 2) Terezinha Propheta et Fábio Moreira, présentateurs de l’émission Commando de l’Espoir; 3) Letycia Elizabeth, présentatrice du programme Vie Pleine.

Une enquête faite par Global Media Monitoring Project (GMMP) et présentée durant le Forum mondial genre et médias, organisé en 2013 par la Commission nationale Thaïlandaise pour l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) et l’Université Thammasat, a montré que parmi les objectifs fixés dans la Déclaration et le Programme d’action de Beijing, en 1995, ceux relatifs à la participation des femmes dans les médias avaient le moins progressé. Selon le rapport, 13 % seulement des reportages divulgués dans la presse, à la radio et à la télévision portaient sur elles, tandis que 46 % d’entre eux renforçaient les stéréotypes sexistes.

La Légion de Bonne Volonté, attentive à ce besoin, travaille depuis des décennies à diffuser les valeurs de la citoyenneté solidaire à travers le Super Réseau Bonne Volonté de Communication (formé de stations de radio, TV, Internet et publications en Amérique latine, aux États-Unis et au Portugal). La surintendante du marketing et de la communication de la LBV, Gizelle de Almeida, affirme que ce qui fait la différence de l’Institution, c’est « promouvoir l’Éducation et la Culture conjointement à la Spiritualité OEcuménique ». Et elle complète : « Les médias de la Bonne Volonté transmettent des valeurs spirituelles, éthiques et oecuméniques qui permettront la transformation nécessaire du comportement humain en un comportement meilleur et une prise de conscience du véritable rôle des femmes dans la société.  Par l’éducation, la femme repousse un héritage atavique et trouve une voie qui s’appuie sur le comportement éthique et la compétence, qui lui offre de nouveaux horizons, comme a toujours orienté le créateur du Super Réseau Bonne Volonté de Communication, le journaliste Paiva Netto. » 

Selon la surintendante, « la force productive des femmes ne peut pas être dispensée, parce que les hommes et les femmes ont des points de vue différents ; et la jonction des deux donne une vue correcte et équilibrée de la situation observée. Les deux se complètent mutuellement, l’esprit de compétition n’a pas lieu d’être entre eux ».

Ceux qui sont de l’autre côté et qui suivent les émissions du Super Réseau Bonne Volonté de Communication, perçoivent la mise en valeur des femmes ce qui favorise l’égalité entre les sexes. Ana Lúcia Ribeiro Gonçalves, 24 ans, diplômée en Administration des affaires, habite à Rio de Janeiro et fait partie constamment de l’audience du réseau. « Les enseignements éclairants de ces programmes qui exaltent les valeurs de la figure féminine ont formé mon identité. (...) En présentant toujours des émissions avec un contenu très riche pour tous les âges et tous les publics, les Médias de la Bonne Volonté sont une référence dans la respectabilité de la femme, dans le progrès d’une société », souligne.

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Nouvelles opportunités

De la rédaction

06/03/2015 à 1:46, Vendredi | Mis à jour le 22/09 à 16:57

La LBV de Portugal soutient les familles touchées par la crise économique.

La Légion de la Bonne Volonté du Portugal est présente dans les villes de Porto, Lisbonne (capitale du pays), Coimbra et Braga, où elle offre divers services d’aide sociale, par exemple : Un Sourire Heureux, Un Pas en avant, Des Graines de la Bonne Volonté, Citoyen-bébé, Ronde de la Charité et Vivez Plus ! 

Récemment, le projet « Être Humain – Être Famille » a été mis en oeuvre par l’Institution pour essayer de rapprocher la LBV et les bénéficiaires de ses actions afin de mieux répondre à leurs besoins.

La première réunion a eu lieu avec les représentants des familles qui participent au programme Un Pas en avant qui fournit des conseils sur la santé et le budget familial et distribue des paniers de nourriture à des centaines de personnes en situation de vulnérabilité sociale. 

Adelaide Salete Silva Ribeiro, 40 ans, est l’une des bénéficiaires du programme et elle a participé à la réunion. Elle a raconté les défis qu’elle a dû affronter ces derniers temps. « Je me suis retrouvée sans travail et je n’avais pas d’argent pour nourrir ma fille, ma nièce et ma soeur, je suis donc allée trouver la LBV. Dans ce pays, les femmes, lorsqu’elles ont des enfants et qu’elles atteignent l’âge de 35, 40 ans, sont très discriminées. »

À l’Institution, elle a trouvé le soutien pour aller de l’avant. « C’est très important cette force de la LBV ; j’admire le travail qu’ils font pour les gens. J’espère que beaucoup d’autres en bénéficieront avec ces réunions, comme moi (...) », a-t-elle affirmé.

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Éduquer les futures générations

De la rédaction

06/03/2015 à 1:36, Vendredi | Mis à jour le 22/09 à 16:57

La LBV des États-Unis promeut la Culture de la Paix et actions de durabilité. 

Les élèves de l’école Lincoln Avenue à Orange (New Jersey), aux États Unis, ont participé récemment au programme Élèves de Bonne Volonté pour la Paix, au cours duquel ils ont été encouragés à préserver l’environnement et à protéger la biodiversité de la planète. Les élèves ont été impliqués dans une série d’activités qui leur a appris à réutiliser les matériaux de la vie quotidienne, à maintenir les espaces communautaires plus propres et plus beaux et à partager leurs expériences avec leur famille et leurs amis. 
 

Le professeur Yashmine Cooper a suivi de près le travail de l’Institution. « Le projet était très bon. Les enfants ont appris à appliquer dans leur vie quotidienne ce qu’ils ont vu au lycée sur l’usage approprié des matériaux et l’importance du recyclage, de la réduction [de la consommation]. Il a servi pour leur développement personnel », a-t-elle affirmé.

Le programme Élèves de Bonne Volonté pour la Paix, de la LBV, est développé dans les écoles publiques nord-américaines depuis 2013 et incite le leadership solidaire chez les élèves, favorisant la promotion d’un environnement scolaire antiviolence et d’activités en faveur de la durabilité. 

Découvrez la vidéo préparée par les élèves de l’école de Lincoln Avenue à Orange, au New Jersey, aux États-Unis, qui ont participé au programme Élèves de Bonne Volonté pour la Paix. Après réfléchir sur le comportement humain par rapport à l’environnement, ils ont uni leurs efforts avec la communauté pour donner un exemple de la façon dont nous pouvons améliorer nos attitudes et aider la planète.

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Prendre soin de la planète

De la rédaction

06/03/2015 à 1:31, Vendredi | Mis à jour le 22/09 à 16:57

La LBV de l’Argentine met en oeuvre un projet visant le développement de la consommation consciente. 

L’es Nations Unies et les entités liées à la cause environnementale invitent constamment la société et les secteurs publics et privés à adopter des politiques qui visent un développement plus durable. 

À la Légion de la Bonne Volonté de l’Argentine, ces concepts sont largement répandus dans ses Centres éducatifs et d’aide sociale, comme le projet « Grandissons en prenant soin de la nature » ou le cours de cuisine professionnelle, du programme Éducation en action.

En plus de la formation professionnelle, les participants de cette initiative concluent l’activité avec une attitude plus consciente dans l’utilisation des aliments et des ressources naturelles. 

Pour Sandra Strajch, ancienne élève et actuellement professeur du cours, l’important dans toute tâche et, dans ce cas, celle qui concerne la préparation des repas, que ce soit dans un contexte professionnel ou privé, c’est d’organiser le travail pour qu’il n’y ait aucun gaspillage. « Par exemple, quand on utilise le four, on s’arrange pour ne pas le laisser allumé pendant des heures, la même chose avec l’eau. Quant à la nourriture aussi, on essaie toujours de réutiliser les ingrédients qui sont généralement jetés dans la préparation de certaines recettes, évitant ainsi le gaspillage », a-t-elle dit.

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Protagonistes contre la violence domestique

De la rédaction

06/03/2015 à 1:27, Vendredi | Mis à jour le 22/09 à 16:57

Les femmes trouvent à la LBV un soutien pour surmonter leurs drames et des outils pour fortifier la communauté. 

Des actions pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes sont aussi fréquentes dans toutes les unités de la Légion de la Bonne Volonté. La LBV du Paraguay, par exemple, a travaillé dans ce but avec le groupe Fortifier des vies. Dans la colonie de Villa Angelica, dans la ville de Lambaré, dans la banlieue d’Asunción, les activités montrent comment l’éducation peut diminuer sensiblement les actes de violence. 

Raquel Morel, 34 ans, l’une des bénéficiaires de ce travail, se souvient des affrontements endurés au cours de ses 16 ans de mariage : « Au début, tout allait bien avec mon mari, mais après, il est devenu violent, parce que j’ai un fils qui n’est pas de lui. Il me maltraitait et parfois il maltraitait mon fils. (...) Depuis que j’ai rencontré la LBV, j’ai repris confiance en moi et j’ai commencé à étudier. J’ai vu que je dois prendre position pour pour que les autres me valorisent »

Elle a donc bouclé un cycle de mauvais traitements et a commencé à voir de nouveaux chemins pour elle-même et pour sa communauté qui est devenue plus unie à partir des informations et des conseils reçus. « Le groupe Fortifier des vies est très bénéfique aux femmes d’ici (...) parce que nous partageons nos problèmes. Ensemble, nous rions, nous travaillons, nous exposons nos idées. Dans les conférences, nous connaissons nos droits en tant que femmes, pour que nous ayons conscience que personne ne peut nous maltraiter. Nous devons nous réveiller, avancer et ne pas abandonner nos enfants », affirme-t-elle. 

Les effets positifs sont visibles, comme Raquel elle-même se fait un devoir de le mentionner : « La communauté s’est améliorée de plusieurs manières ; nous avons appris à demander l’aide de Dieu, à faire une prière, à nous valoriser. La LBV est présente dans les bons et les mauvais moments. Elle est toujours d’une grande aide pour les femmes, pour les enfants, les jeunes, les adultes et les personnes âgées. »

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Opportunités en banlieue

De la rédaction

06/03/2015 à 1:20, Vendredi | Mis à jour le 22/09 à 16:57

Attentive aux défis, la LBV de la Bolivie concentre son travail dans des régions ayant de grandes demandes sociales

Trois fois par semaine, une équipe de la Légion de la Bonne Volonté de La Paz, en Bolivie, se dirige vers le même endroit : la colonie de Buena Vista, dans la ville d’El Alto. Le groupe, composé d’une cuisinière, d’une assistante sociale et de professionnels bénévoles, quitte la capitale bolivienne (à environ 10 km de la ville), avec une camionnette pleine de nourriture et d’espoir d’offrir à ces femmes et, plus particulièrement, aux mamans, des conditions favorables au développement de leur autonomie. 

Tôt le matin, l’équipe de l’Institution arrive dans la communauté et commence à préparer les repas qu’elle servira aux familles, un renfort considérable pour le régime alimentaire précaire de ces personnes.

L’après-midi est réservé à l’apprentissage. Dans le centre social, les jeunes filles et les femmes adultes se réunissent pour participer à des cours d’alphabétisation et de formation technique promus pour qualifier la main-d’oeuvre féminine et générer des revenus. Parmi ces activités, on citera l’exemple des ateliers pour apprendre à préparer de produits à base de chocolat et pour faire de l’artisanat, des couvertures et des ponchos. 

Gladis Flores Mamani, 31 ans, mère de quatre enfants, dit que, malgré l’effort quotidien de son mari, son salaire reste insuffisant pour couvrir les dépenses du ménage. Et elle voulait depuis longtemps apprendre un travail manuel qui lui offre un revenu supplémentaire. 

« Quand j’ai vu que la Légion de Bonne Volonté offrait des cours dans son Centre de Formation Technique, j’ai été l’une des premières à m’inscrire. » Gladis a appris la technique du macramé et elle en voit déjà les résultats : « Je suis très heureuse et reconnaissante envers la LBV. Maintenant, je fais beaucoup de broderies et je les vends, et j’aide ma famille. »

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