Magazine BONNE VOLONTÉ Femme dans les Nations Unies

De la rédaction

09/03/2015 à 9:47, Lundi | Mis à jour le 22/09 à 16:07

La Journée internationale de la Femme, célébrée le 8 mars, ramène à notre mémoire les sacrifices et les défis affrontés par différentes femmes, tout au long des années, dans la lutte pour assurer leurs droits. Le magazine BONNE VOLONTÉ Femme, publication spéciale de la Légion de la Bonne Volonté (LBV), renforce la nécessité de travailler pour la valorisation de la femme et pour son influence, par les plus différents postes de la société, sur le développement des nations.

La nouvelle édition du magazine est lancée pendant la 59e session de la Commission de la condition de la Femme (CSW), qui se tient entre le 9 et le 20 mars, au siège des Nations Unies à New York. L’évènement fait un examen des 20 ans de la Quatrième Conférence mondiale sur les femmes, réalisée par l’ONU en 1995, dans la capitale de Chine, afin de mesurer les progrès et les défis dans la mise en œuvre de l'historique Déclaration et Programme d'action de Beijing en faveur de l’égalité des sexes et des droits des femmes.

Dans ce magazine (disponible en portugais, anglais, espagnol et français), la LBV présente ses recommandations de bonnes pratiques sociales, basées sur son travail solidaire, qui, de manière intégrée, dans les domaines de l’éducation, de la formation professionnelle, de la durabilité et de la communication, font que les femmes et les filles accueillies par l’Institution construisent un avenir plus digne, dans la perspective de la Culture de la Paix.

Cette édition montre aussi l’article « Beijing+20 (2015) », du journaliste Paiva Netto, dirigeant de la LBV, dans lequel il souligne le rôle féminin dans l’évolution de l’Humanité.

La publication compte également sur une interview avec la directrice exécutive d’ONU Femmes, Phumzile Mlambo-Ngcuka, qui dirige l’organisation avec toute son expérience sur la question des droits des femmes, avec un fort leadership stratégique et une grande pratique administrative. Pour elle, des mesures d’urgence et un effort collectif sont nécessaires de façon à ce que les filles et femmes aient réellement leur égalité de droits respectée.