Revue BONNE VOLONTÉ : les plus vulnérables au centre de la durabilité de la planète

de la Rédaction

16/07/2018 à 18:16, Lundi | Mis à jour le 16/07 à 18:19

Comment développer des sociétés durables et résilientes aussi bien dans les zones rurales qu’urbaines ? Pour répondre à cette question si urgente et si importante pour la planète, qui souffre de plus en plus des effets du changement climatique, le Conseil économique et social (ECOSOC), l’un des six principaux organes de l’Organisation des Nations Unies (ONU), réalise son Débat de haut niveau du 16 au 19 juillet, à New York, aux États-Unis.

Participant à cet événement, la Légion de Bonne Volonté présente – à travers la publication de la revue BONNE VOLONTÉ Développement durable 2018 (disponible en anglais, espagnol, français et portugais) – des bonnes pratiques qui renforcent les facteurs de protection des communautés et des familles en situation de vulnérabilité sociale, des personnes qui souffrent plus encore des effets du réchauffement climatique du fait qu’elles vivent dans des endroits aux infrastructures précaires, dans des zones sujettes aux inondations, à l’absence de pluie et à la sécheresse, sans accès à l’assainissement de base et aux droits fondamentaux. En renforçant chez elles la capacité de faire face à des situations adverses, de surmonter les pressions, les obstacles et de réagir positivement aux problèmes.

Dans la revue, l’Institution indique l’éducation à la Citoyenneté Œcuménique, ou citoyenneté mondiale, comme l’outil le plus remarquable à utiliser dans cette transformation qui permettra un présent et un avenir meilleurs pour les peuples. L’un des contenus dans ce sens est l’article du président de la LBV, José de Paiva Netto, intitulé « Prise de conscience aujourd’hui… », dans lequel il souligne : « Notre cri de ralliement est le suivant : Éduquer. Préserver. Survivre. Humainement, nous sommes aussi la Nature ».

 

D’autres articles de la revue mettent en relief les actions promues par la LBV de sept pays (Argentine, Bolivie, Brésil, États-Unis, Paraguay, Portugal et Uruguay). Ces activités favorisent le contact avec la nature, éveillent la conscience socio-environnementale et développent l’autonomisation économique des personnes que la LBV accueille.